Partisans opposés au rapport du GIEC

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Catégorisation des partisans opposés au rapport du GIEC

Parmi les partisans opposés au rapport du GIEC, il est possible de distinguer, selon leur conceptions, des partisans aux spécificités suivantes:



Opposants aux rapports du GIEC, au réchauffement climatique exceptionnel et à son origine anthropique

Contrairement à ce que l’immense majorité des gens croient, la théorie du réchauffement climatique qui incrimine la responsabilité de l’homme, par la production exagérée de gaz à effet de serre, est très loin de faire l’unanimité ; elle est véritablement décriée par des milliers de scientifiques, entre autres, d’éminents spécialistes (en climatologie, science environnementale, astrophysique, paléoclimatologie, hydrogéologie, physique, mathématique, météorologie, etc.), exerçant dans les plus grandes universités de tous les pays de la planète ; ils sont, entre autres, Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs. Selon Stanley Goldenberg, ‘’c’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique’’. Plus de 31.450 ont signé l’Oregon Pétition entre 1999 et 2010. Et indiscutablement, la liste de ces scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique est impressionnante et ne cesse de s’allonger ; ils sont sceptiques, tant sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, que sur son origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives catastrophiques; ils réfutent catégoriquement le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), qui prédit la montée de la température de 2 à 3 degrés centigrades d’ici la fin du siècle et comme conséquence des pénuries alimentaires pour des centaines de millions de personnes, de graves pénuries d’eau, une fonte des glaciers, la montée du niveau de la mer, la multiplication des tempêtes tropicales, une généralisation de vagues de chaleur et d'épisodes de fortes précipitations; bref, l’apocalypse !

Quelques témoinages contre le rapport du GIEC

  • Le témoignage de Christopher Landsea, météorologue à la NOAA , spécialiste des ouragans, Ph.D., ancien rédacteur du rapport du GIEC, rend forcément perplexe ; il l'a quitté en dénonçant l'instrumentalisation : ‘’ je ne peux pas continuer, en conscience, à contribuer à un processus que je considère être et conduit par des objectifs préconçus et scientifiquement non valable’’.
  • Selon Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : ‘’la méthode d'étude adoptée par le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) est déficiente à la racine, ce qui entraîne des conclusions sans fondement’’ ; pour lui, contrairement à ce qu'affirme le GIEC, ‘’il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la plupart" du réchauffement actuel soit dû à l'effet de serre’’.
  • Beaucoup de scientifiques estiment que c'est le soleil qui serait le véritable responsable de l'évolution du climat, comme par le passé;
  • David Archibald va même jusqu’à prédire un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.
  • Pour Robert H. Austin, physicien à Princeton, ‘’les enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui.
  • Bob Carter rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser;
  • Richard Keen, climatologue américain au sein du département des sciences atmosphériques et océanographiques de l'université du Colorado va dans le même sens ; il est très critique vis-à-vis de l'existence même d'un réchauffement climatique et rappelle que les températures depuis 1998 ont baissé et que 2007 a été l'année la plus froide de la décennie. Et donc, à l’évidence, la menace du réchauffement climatique est « largement exagérée.
  • Tout cela fait dire au professeur Domingos, que ‘’créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux’’ et que ’’l’ alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques’’.
  • Ainsi, Ivar Giaever, Prix Nobel de physique, s'oppose tout particulièrement aux dévoiements de l'écologie à des fins politiques qu'organisent quelques hommes politiques et des organismes comme le GIEC ; il a ainsi déclaré : ‘’ je suis un sceptique, le réchauffement climatique est devenu une nouvelle religion’’.
  • William Happer confirme que ‘’ce qui était une science est devenue une religion’’;
  • Horst Malberg, professeur en Météorologie et climatologie, ancien directeur de l'Institut de Météorologie de l'Université de Berlin, co-signataire d'une lettre ouverte de plus de 100 scientifiques allemands à la Chancelière Allemande en juillet 2009, dénonce la croyance au réchauffement anthropique comme une pseudoscience.
  • Ainsi, beaucoup de scientifiques se sont opposés à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique ; ils insistent sur la dimension naturelle du phénomène et mettent en valeur les phénomènes naturels, comme l’activité solaire, qui l'expliquent, aujourd'hui comme au cours des variations passées du climat ; ainsi, même si certains considèrent que l'homme a une influence sur le climat, ils insistent sur le fait qu'il faut la minorer fortement. Et quoiqu’il en soit, l'origine humaine du réchauffement climatique ne peut être qu'une hypothèse et exige un débat scientifique.

Selon les opposants au rapport du GIEC, les courants de pensés écologistes, de plus en plus important, ont été trompés, au nom d’une certaine science, tant sur la réalité du réchauffement climatique que sur ses conséquences et remèdes. Quant aux politiques, ils surfent allégrement sur la vague pour des raisons purement politiques et géopolitiques ; la plupart d’entre eux ne sont guère convaincus ni prêts à faire des sacrifices pour une réduction significative de la production des gaz à effet de serre, pour des raisons liées à une obsession de développement et de croissance.

Changement climatique: regards scientifiques et philosophiques

La problématique du réchauffement climatique vient de diviser profondément la communauté scientifique ; les divergences inconciliables entre partisans et détracteurs vont inexorablement sonner le glas de la ‘’Science Toute Puissante’’. Cet crise est certainement liée à la faillite de la démarche scientifique qui, de plus en plus, sous-estime l’importance du temps philosophique de la recherche, préalable incontournable qui doit convoquer non seulement les sciences fondamentales, expérimentale mais aussi toutes les sciences sociales.

  • Exemple de regards religieux : Selon l’approche laïque ou religieuse, la signification de ‘’la responsabilité de l’homme dans le phénomène du changement climatique’’ n’est pas la même. Certes, la perspective religieuse tient compte de tout comportement néfaste pour l’homme et son environnement et le réprouve, mais incrimine surtout le comportement moral répréhensible, comme responsable de tous nos maux ; ainsi, c’est la généralisation de la turpitude, qui est plus déterminante dans la genèse des troubles écologiques que la production des gaz à effet de serre.
  • Exemple de regards philosophiques: Les limites des approches actuelles visant a explicité ou a justifier le changement climatique, montre que nous vivons une crise morale sans précédent ; une ère de plus en plus complexe et perplexe que les conceptions philosophiques et scientifiques classiques ne permettent plus de décrypter ; en effet, malgré les avancées de la science dans tous les domaines, de plus en plus de phénomènes nous échappent ; c’est dire que la plupart des observateurs et experts sont dans la tourmente ; et c’est donc le désenchantement et la désillusion pour tous les positivistes et autres matérialistes, du fait de leur méconnaissance.