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{{Conceptions canoniques}}
 
 
 
*voir [[Vitalisme]]
 
*voir [[Mécanisme]]  
 
*leurs points communs Le vitalisme va se construire en réaction au mécanisme cartésien.
 
 
 
Il sera précédé de l’animisme de Georg Ernst Stahl (1659-1734). Pour Stahl, qui fut d’abord chimiste (on lui doit le phlogistique) l’organisme est composé d’un ensemble de matière hétérogène, qui naturellement se dissocierait. Il faut donc que quelque chose d’étranger à la physique et à la chimie l’oblige à rester ensemble : l’âme. Cette âme immatérielle fournit une force vitale qui s’oppose à la désagrégation de l’organisme. Plus que chez Descartes, l’immatériel surgit ici dans la physiologie.
 
 
 
Influencé par Stahl mais en reconnaissant l’excès, le vitalisme va tenter de se situer entre le mécanisme et l’animisme.
 
 
 
Le vitalisme repose sur le postulat que le vivant a ses lois propres, ce en quoi la plupart des biologistes pourront se reconnaître. Il est affirmation de l’originalité du vivant par rapport au non vivant, de l’organique par rapport à l’inorganique. Il affirme la spécificité du vivant et par extension des méthodes d’étude du vivant. On ne pourra pas faire de la biologie une simple branche de la physique et de la chimie.
 
Tout le problème est de comprendre et définir en quoi consiste cette originalité du vivant.
 
 
 
Le vitalisme se définit aussi par rapport au fait que l’être vivant est distinct de son milieu et réagit activement aux variations de ce milieu.
 
Des forces vitales spécifiques du vivant sont appelées et , pour définir et expliquer cette originalité du vivant, son fonctionnement et ses réactions, par rapport au non vivant.
 
Ces forces vitales sont placées sur le même plan que par exemple la force de gravitation de Newton. Leurs auteurs leur donne le même statut épistémologique, pour se distinguer de l’animisme de Stahl.
 
 
 
Le vitalisme a matière à se développer car de nombreux phénomènes ne semblent pas pouvoir s’expliquer par la simple mécanique, comme la reproduction sexuée, l’hérédité ou le développement de l’embryon.
 
 
 
Ainsi pour Caspar Friedrich Wolff (1734-1794), de ce qu’on appellera l’école vitaliste allemande, une vis essentialis propre aux organismes vivants permet la transformation de la matière inorganique en matière organique et permet ainsi l’organisation et le développement de l’embryon. Johann Blumenbach (1752-1840) complètera l’explication en adjoignant à la vis essentialis un nisus formativus, principe d’organisation.
 
 
 
En France le vitalisme prend racine à la faculté de médecine de Montpellier. Paul Joseph Barthez (1734-1806) écrit dans ses Nouveaux éléments de la science de l’Homme : « J’appelle principe vital de l’homme la cause qui produit tous les phénomènes de la vie dans le corps humain. Le nom de cette cause est assez indifférent et peut être pris à volonté. ».
 
Barthez distinguait les phénomènes de la matière de ceux de la vie et de ceux de l’âme, chacun étant régi par des lois spécifiques.
 
 
 
Le plus célèbre des vitalistes français est Xavier Bichat (1771-1802), aussi fondateur de l’histologie. Pour lui «  la vie est l’ensemble des fonctions qui résistent à la mort » [1].
 
Pour Bichat, chaque tissu a sa vie propre, des caractéristiques particulières (ce qu’il nomme irritabilité, sensibilité, tonicité). Il écrit aussi « La physique, la chimie se touchent parce que les mêmes lois président à leurs phénomènes. Mais un immense intervalle les sépare de la science des corps organisés, parce qu’une énorme différence existe entre leurs lois et celles de la vie. »
 
 
 
Selon Bichat, pour George Canguilhem [2], les actes de la vie opposent à l’invariabilité des lois physiques leur instabilité, leur irrégularité, comme un « écueil où sont venus échouer tous les calculs des physiciens médecins du siècle passé ». Le vivant échappe au déterminisme et devient imprévisible.
 
 
 
Le vitalisme domine à la fin du XVIIIème siècle, car globalement les naturalistes ne peuvent se satisfaire du mécanisme cartésien. Le vivant ne peut s’expliquer avec les forces physico-chimiques connues alors. Augustin Cournot (1801-1877), mathématicien et philosophe, écrit dans Matérialisme, vitalisme, rationalisme. Étude sur l’emploi des données de la science en philosophie (1875) : « Tous les progrès de l’observation scientifique confirment tellement l’idée d’une distinction radicale entre les lois du monde physique et celles des phénomènes de la vie ».
 
 
 
Il y a donc l’idée d’un être vivant dans un milieu soumis aux lois physiques sans y être soumis lui-même.
 
 
 
« Si la force vitale revêt une telle importance pour le début du siècle dernier, c’est qu’elle joue le rôle que la physique attribuera plus tard à deux concept nouveaux. Les êtres vivants apparaissent aujourd’hui comme le siège d’un triple flux de matière, d’énergie et d’information. A ses débuts, la biologie est en mesure de reconnaître un flux de matière, mais à la place des deux autres, il lui faut recourir à une force particulière », explique François Jacob dans La logique du vivant (cité par Paul Mazliak).
 
 
 
Mais toutes ces forces restent assez mystérieuses, et le vitalisme a ensuite décliné au XIXème siècle, à travers des découvertes qui vont réduire l’espace entre vivant et non vivant :
 
 
 
La synthèse de l’urée, molécule organique, en 1828 par Friedrich Wohlër montre qu’on peut faire de l’organique avec de l’inorganique au laboratoire.
 
Les travaux de Pasteur qui démontrent qu’il n’y a pas de génération spontanée, donc pas de principe vital susceptible de faire apparaître la Vie à partir du non vivant
 
Toutes les découvertes de la biologie moléculaire, avec l’ADN, sa structure, son expression, les protéines et leurs fonctions, qui vont ramener les activités du vivant à des supports moléculaires et à des réactions chimiques.
 
- Il convient de souligner dans cette histoire le rôle de Claude Bernard qui dans ses travaux a montré que les lois de la physique et de la chimie s’appliquaient à l’intérieur de l’organisme, rejetant explicitement tout principe vital ou de force mystérieuse pour parler de déterminisme. Il était nécessaire dans sa méthode que vivant et non vivant soient soumis aux mêmes lois, car s’il n’y a pas de déterminisme, si les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets, il n’y a pas d’expérience possible. Il était donc nécessaire de ne pas s’arrêter aux irrégularités pointées par Bichat. C’est en considérant les différents organes dans leurs fonctions au sein de l’organisme qu’il a pu aller au-delà.
 
 
 
Claude Bernard renvoie dos à dos les conceptions mécanistes et vitalistes et emprunte une voie différente avec le concept de milieu intérieur. Il les concilie et les dépasse en en prenant le meilleur, basant ses travaux sur le matérialisme tout en tenant compte de l’originalité du vivant. La physiologie est une vraie science, tout en étant autonome, par son objet et sa méthode.
 
Il fonde sa propre méthode, qui n’appartient plus à la physique ou à la chimie, tout en restant attachée au déterminisme, contrairement à Bichat.
 
Claude Bernard étudie un tout, l’organisme, avec ce milieu intérieur qui est déterminé par les organes et qui les relie.
 
 
 
On peut finalement définir ici ce qui fait peut-être simplement l’originalité de vivant par rapport au non vivant : sa complexité, qui se déroule à plusieurs niveaux. On voit que l’approche réductionniste, si elle est valable et est fructueuse, est limitée en biologie. On ne peut comprendre l’être vivant par l’étude de ses parties séparées. C’est ainsi que Claude Bernard justifie la vivisection et l’expérimentation sur l’animal.
 
 
 
Toutefois Claude Bernard se trouva contraint d’introduire une force directrice en plus des forces physico-chimiques pour rendre compte du développement de l’embryon.
 
 
 
Si le vitalisme a la vertu d’affirmer la spécificité du vivant et des méthodes de la biologie, on voit comme il peut apparaître comme une solution de facilité. On fait appel à une force vitale parce qu’on n’a pas d’explication.
 
Pour Jean Rostand (1894-1977), biologiste et historien des sciences, cité par Canguilhem [3] : « Le mécanisme a, à l’heure actuelle, une position extrêmement solide, et l’on ne voit guère ce qu’on peut lui répondre quand, fort de ses succès quotidiens, il demande simplement des délais pour achever son œuvre, à savoir pour expliquer la vie sans la vie ». Le vitalisme serait alors simplement le refus de ces délais.
 
 
 
Aujourd’hui on ne parle plus de mécanique et d’hydraulique. Ce n’est plus le mécanisme de Descartes mais la vie est expliquée en utilisant la physique et la chimie car nous avons plus de physique et de chimie à notre disposition.
 
 
 
La science montre une vision mécaniste de l’être vivant. Ce n’est plus un automate comme chez Descartes, avec des ressorts et des soufflets. C’est aujourd’hui une mécanique moléculaire, mais le principe est au fond le même : la cellule est le siège, et son activité le résultat, de réactions chimiques en chaînes qui s’entrecroisent, grâce à des protéines, les enzymes, fabriquées sous contrôle d’une autre molécule : l’ADN.
 
Nous le comprenons, bien que la complexité de la relation gène/protéine nous apparaisse de plus en plus grande. Cette cellule produit de l’énergie, prend, libère, reçoit ou émet des informations, se divise… Comment passe-t-on d’un niveau à l’autre, d’une multitude de réactions chimiques à une cellule vivante, c’est ce qu’il est difficile de se représenter.
 
 
 
En 1944, Schroedinger demandait dans son livre Qu’est-ce que la vie ? : « Comment peut-on expliquer à l’aide de la physique et de la chimie les évènements qui se déroulent dans l’espace et dans le temps dans les limites spatiales d’un organisme vivant ? ».
 
 
 
Nous avons là un questionnement matérialiste poussé à son extrême par un physicien : on affirme que le vivant obéit aux lois de la physique et de la chimie et à rien d’autre. C’est cette voie, strictement matérialiste, qui a été suivie depuis Claude Bernard.
 
 
 
car une machine est construite dans un but précis.
 
Une machine est un objet hautement finalisé qui par définition est construite par un ingénieur pour remplir une tâche. Il ne peut y avoir de machine sans constructeur.
 
C’était ainsi pour Descartes et son animal machine, et c’est pour lui Dieu qui tient ce rôle, bien que ce mécanisme soit explicitement lié à une démarche matérialiste.
 
C’est ainsi aussi pour les tenants de l’Intelligent Design (IDers) pour les organes dans l’organisme, mais aussi pour la machinerie moléculaire de la cellule, qui donc amènent à l’idée d’un designer. Ce n’est pas un hasard si certains des plus éminents IDers sont des biochimistes, formés à décrire cette machinerie, comme Michael Behe.
 
 
 
 
 
G. Canguilhem fait remarquer, « il y a plus de finalité dans la machine que dans l’organisme, parce que la finalité y est rigide et univoque, univalente. » «  Dans l’organisme au contraire, on observe une vicariance des fonctions, une polyvalence des organes ». Il contredit ici Aristote, qu’il cite : « la nature ne procède pas mesquinement comme les couteliers de Delphes dont les couteaux servent à plusieurs usages, mais pièce par pièce, le plus parfait de ses instruments n’est pas celui qui sert à plusieurs travaux mais à un seul ». [5]
 
On connait de nombreux exemples d’organes jouant plusieurs rôles dans l’organisme, ce qui peut s’expliquer par leur histoire évolutive. Cette finalité imparfaite, témoin de l’évolution, est une limite du finalisme, et du mécanisme.
 
 
 
- L’histoire du vitalisme est intéressante aussi à titre d’exemple, pour jeter un éclairage sur d’autres questions qui ne sont pas encore refermées. Je voudrais en particulier faire un parallèle entre cette question de la Vie et celle de la conscience, de l’esprit humain, question si importante dans l’évolution dés que l’on s’approche de l’histoire de l’Homme.
 
 
 
On retrouve dans les deux cas des interrogations du même ordre, en particulier une interrogation sur la continuité : d’un côté y a-t-il ou non continuité entre la matière inerte et la matière vivante ?, de l’autre y a-t-il ou non continuité entre l’intelligence animale et l’intelligence humaine ? Dans les deux cas la question est : s’agit d’une différence de degrés ou d’une différence de nature ?
 
 
 
Interrogation sur l’origine et la nature, matérielle ou supra naturelle.
 
Quelles sont les réponses proposées pour la conscience humaine ?
 
 
 
D’un côté nous avons le matérialisme scientifique qui malgré les immenses zones d’ombres qui subsistent encore dans les neurosciences suppose que la conscience s’expliquera par et uniquement par les propriétés des neurones et des réseaux nerveux, éventuellement en faisant appel à des propriétés émergentes. C’est une explication que la science est (pour l’instant ?) incapable de fournir, il faut bien l’avouer.
 
D’un autre côté nous avons l’âme rationnelle d’Aristote, l’esprit immatériel du dualisme cartésien, l’âme de la religion.
 
Dans cette opposition, il est facile de reconnaître une opposition similaire à l’opposition mécanisme/vitalisme, avec d’un côté une doctrine matérialiste éloignée du sens commun et sans magie et de l’autre côté une doctrine plus intuitive mais qui sort facilement du champ de la science, ces deux oppositions pouvant se confondre ou se prolonger.
 
 
 
On retrouve ici une difficulté à se représenter la complexité et c’est ici que surgit la tentation vitaliste face à une complexité que je ne parviens pas à démêler et à expliciter, j’appelle ce qui me paraît un peu magique force vitale et je m’en satisfais.
 
 
 
De la même manière dans le cerveau, cette complexité qui me dépasse, je l’appelle l’âme, l’esprit, et je le sépare du matériel. C’est aussi la tentation animiste. La différence par rapport à la précédente, c’est qu’ici la science n’a pas (encore ?) de réponse complète à donner.
 
 
 
 
 
 
 
L’histoire du vitalisme, et plus précisément Claude Bernard, nous enseignent ce à quoi ressemble une réponse acceptable pour la science : la théorie de l’évolution, fondée sur le matérialisme et utilisant uniquement les propriétés de la matière, est une réponse acceptable. Le dessein intelligent ne l’est pas, pas plus que l’énergie ascendante de Teilhard de Chardin.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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