Electronique
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/ Electronique (Français) / Electronics (Anglais) / الالكترونيك (Arabe)
Définition écrite
L'électronique de puissance comprend l'étude, la réalisation et la maintenance : des composants électroniques utilisés en forte puissance; des structures des convertisseurs; de la commande de ces convertisseurs; des applications industrielles de ces convertisseurs. |
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- L'utilisation de systèmes digitaux est en pleine expansion. Pour s'en
convaincre, il n'y a qu'à regarder autour de nous l'explosion de la microinformatique, qui s'est même implantée dans les ménages. Un nombre de plus en plus grand de machines (télévision, voiture, machine à laver, etc.) utilisent de l'électronique numérique. Nous trouvions, jusqu'à l'apparition du microprocesseur, deux grands secteurs dans le domaine des systèmes digitaux. Cette division a subsisté chez les fabricants d'ordinateurs où nous trouvons encore: • le département matériel (hardware) • le département logiciel ou programmation (software) L'apparition du microprocesseur a eu pour effet de diminuer l'importance du matériel et de provoquer un déplacement des moyens de traitement des circuits aux programmes. Ce qui fait que nous nous trouvons de plus en plus face à des programmes qui cernent la machine au plus près. Cela oblige les programmeurs à connaître de mieux en mieux le matériel pour mieux "coller" à l'application avec le programme. Après avoir réduit le marché de la logique câblée, le microprocesseur est parti à la conquête de l'électronique basse fréquence. Il a fait son entréedans un nombre important de secteurs (jeux, télécommunications, automatique, etc.). L'augmentation des possibilités d'intégration (nombre de transistors par mm2 ) conduit à une nouvelle évolution. Les circuits logiques programmables deviennent abordables. La programmation des petites applications se trouve remplacée par de la logique câblée dans ces circuits programmables. Cette évolution permet d'envisager une augmentation de la vitesse de traitement des fonctions. Jusqu'à présent, l'apprentissage de la logique se faisait à travers la dé- couverte des fonctions logiques élémentaires contenues dans les circuits intégrés des familles 74xxx, dont on peut voir quelques types dans figure 1- 1, page 2. Les expérimentations se limitaient aux fonctions proposées par les fabricants de ces circuits. La conception de fonctions logiques regroupant plusieurs de ces circuits nécessitait un câblage conséquent, et la réalisation d'un circuit imprimé de grande surface L'apparition des circuits logiques programmables de type PLD (Programmable Logic Device), CPLD (Complexe PLD, figure 1- 2, page 3) ou FPGA (Field Programmable Gate Array, figure 1- 2, page 3) a permis de s'affranchir de cette limitation. En effet, l'utilisateur peut créer, dans ces circuits, toutes les fonctions logiques qu'il souhaite avec comme seules limitations, la place disponible dans le circuit choisi et/ou la vitesse de fonctionnement de celui-ci. La taille actuelle de ces circuits permet l’intégration d’un système à processeur complet. En anglais, l’abréviation est SoPC pour System on Programmable Chip. Les outils de développement mis à la disposition des utilisateurs doivent donc permettre de passer de la description du comportement d'une fonction logique à son câblage dans le circuit et cela de la manière la plus simple possible. Au début des années 90, la description du comportement des fonctions logiques était faite par l'utilisation de langage dit de "description de matériel". Parmi ceux-ci, on peut citer: La première génération de ces langages permettaient des descriptions au niveau logique. Il a existé deux langages: • Le CUPL utilisé dans les années 1980 à 1994. • Le langage ABEL (Advanced Boolean Equation Language) utilisé dans les années 1990 à 1998 Ce langage a été créé par la société DATA I/O et utilisé ou imité par quasiment tous les concepteurs d'outils de développement pour ce type de circuit (XABEL pour XILINX, AHDL pour ALTERA, PLD pour ORCAD, XPLA pour PHILIPS, etc..) Ce langage n'est plus utilisé actuellement. L'augmentation de la complexité des circuits programmable a nécessité de disposer de langage permettant des descriptions de plus haut niveau (comportementale). Deux langages sont apparu au début des années 1990 pour la conception de circuits ASIC (circuit intégré spécialisé). Ils se sont imposées dés le milieu 1995 pour les circuits logiques programmables. Il s'agit: • Le langage VHDL (Very High Speed Integrated Circuit, Hardware Description Language) qui a été créé pour le développement de circuits intégrés logiques complexes. Il doit son succès, essentiellement, à sa standardisation sous la référence IEEE-1076, qui a permis d'en faire un langage unique pour la description, la modélisation, la simulation, la synthèse et la documentation. • Le langage VERILOG qui est proche du langage VHDL et qui est surtout utilisé aux Etats-Unis.
Exemples-Applications-Utilisations
- CIRCUIT INTEGRE MULTIFONCTIONS
APPLICATIONS DE L'AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME LINEAIRE APPLICATIONS DE L'AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON-LINEAIR
Le sujet du TP devra être lu avant l’arrivée à la séance afin de résoudre les questions liées à la préparation de cette séance de TP. Les questions de préparation du TP ont pour préfixe la lettre P : Px où x est un nombre entier. Les questions relatives à une manipulation en cours de séance sont notées Mx où x est un nombre entier.
Le compte-rendu est la preuve écrite de la qualité du travail effectué par les élèves, de leur sens
d’observation et du niveau de compréhension des phénomènes étudiés. Il doit être clairement rédigé d’une manière concise. Une mauvaise présentation ne peut qu’indisposer le correcteur.
Les résultats numériques doivent être présentés correctement de façon à pouvoir les vérifier. Si ils
sont calculés à partir de mesures expérimentales, ces dernières doivent être indiquées. S’ils résultent d’une interprétation des courbes, celles-ci doivent être annotées.
Les résultats théoriques et numériques devront être encadrés. Tout montage devra être câblé hors tension et être vérifié d’abord par le binôme puis par l’enseignant
avant la mise sous tension. Ne pas déplacer les appareils d’une table à l’autre. Si un appareil est absent de votre table de TP, le signaler à l’enseignant.
Avant de commencer une série de mesures, il est conseillé de relever les valeurs extrêmes. Ceci
permet de choisir directement les échelles pour les relevés.
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- Confusion entre ....... et ........
- Confusion entre ....... et ........
- Erreur fréquente: .................
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