Sentimentocentrée
les conceptions « Sentimentocentrées » sont de deux types :
« Conceptions pessimistes, fatalistes, alarmistes » : les approches, alarmistes, pessimistes souvent articulées à des conceptions catastrophistes apportent souvent le sentiment d'un fatalisme contre lequel il est impossible d’agir. La culpabilité qui en découle incite plus facilement les individus à rejeter leur responsabilité sur une autre instance plutôt qu'elle ne le motive à l'action. En effet, comme le remarque Brune (2000). « Ce réel de l'époque, falsifié, dramatisé, inventé, et sur un mode si catastrophique, dissuade les citoyens d'agir: le sentiment d'impuissance que leur procure le tableau de tant d'événements inéluctables leur fait croire qu'ils ne peuvent rien dans les domaines tout proches où ils pourraient agir ou résister ».
Les conceptions « pessimistes, fatalistes, alarmistes » sont présentes à travers l’exemple du changement climatique. Elle est généralement privilégiée par les partisans d'un réchauffement climatique d'origine anthropogénique. Elle peut s'accompagner de démarches et de conceptions alarmistes, souvent articulées à des conceptions catastrophistes.
« Conceptions optimistes » : Une conception optimiste voit toujours une opportunité dans chaque difficulté. En effet, elle désigne un état d’esprit qui perçoit le monde de manière positive, a tendance à voir « le bon côté des choses » et considère que des évènements, même fâcheux, prendront quoi qu’il arrive une tournure positive en fin de compte.
Les conceptions « optimiste» est présente à travers l’exemple du changement climatique. Elle est généralement privilégiée par les partisans d'un réchauffement climatique d'origine naturelle. Elle peut insister sur le non action mais peut aussi s'accompagner de démarche qualifié d'insouciante.