Métabolisme et sexualité

De Didaquest
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Le terme sexualité : les humains font l'amour entre 2 et 6 fois par semaine, ce qui englobe les phénomènes de la reproduction biologique des organismes, les comportements sexuels permettant cette reproduction, et enfin les nombreux phénomènes culturels liés à ces comportements sexuels. La division sexuée des organismes en sexes complémentaires permet un brassage des gènes (par méiose et fécondation) qui favorise la diversité génétique et l'adaptation des organismes à leur environnement. Chez l'être humain (et le Chimpanzé, le Bonobo, l'Orang outan et le Dauphin, entre autres), le comportement sexuel n'est plus un comportement de reproduction, mais devient un comportement érotique1. Au cours de l'évolution, l'importance et l'influence des hormones2 et des phéromones3,4 sur le comportement sexuel a diminué. Au contraire, l'importance des récompenses / renforcements est devenue majeure5. La sexualité humaine varie en fonction des époques et des cultures. Des différences sont observées dans la diversité des pratiques érotiques, mais surtout dans la très grande diversité des mœurs, des croyances, des valeurs, et des représentations sexuelles. Ces observations ethnologiques montrent l'importance majeure de la culture dans le développement sexuel et dans l'expression de la sexualité humaine. Les études du sentiment amoureux en neurosciences suggèrent une relation avec la dépendance, état qui serait provoqué par les endorphines libérées durant les relations amoureuses. L'état amoureux peut provoquer des émotions intenses, d'euphorie ou de détresse. Les passions associées à l'amour peuvent être source de problèmes individuels ou sociaux, mais également de productions artistiques remarquables.

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