Partisans en faveur d'un changement climatique

De Didaquest
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L'hypothèse d'un réchauffement climatique s'appuie sur les conclusions des différents rapports GIEC.

du groupe GIEC rédigés par certains scientifiques. parmi ceux-ci, certains ont récemment changé d'avis. parmi lesquelles quelques scientifiques qui ne sont ni climatologues ni météorologistesnient l'existence d'un tel réchauffement.

Refroidissement climatique ou réchauffement climatique ?

Quelques études de-ci de-là avancent des chiffres sur l’accroissement en épaisseur de la banquise Arctique. A la grande différence de l’Antarctique, certaines zones du pole Nord s’accroitrait en épaisseur … Fontes des glaces prélude à un refroidissement climatique majeur ? Éclaircissements.

Les pôles

Le pôle Sud est le point le plus au sud du globe terrestre dénommé généralement Antarctique. Le terme pôle Nord appelé aussi le abusivement uniquement Groenland, est le point le plus au nord de la Terre. Le pôle Nord se situe au milieu de l'océan Arctique dans une zone en permanence couverte par la banquise.

Etudes climatiques

Les précipitations neigeuses qui s'accumulent au centre de l'île Artique se transforment progressivement en glace et assurent théoriquement la pérennité de cette calotte. Les scientifiques mais aussi des organismes comme le GIEC s'intéressent de près à l'évolution de l'épaisseur de la glace et aux courants marins froids générés par la fonte (circulation thermo haline) dans le cadre du changement climatique.

En Antarctique

la situation est très différente. Dans la péninsule antarctique, la perte de glace est considérable en raison de la dislocation de plusieurs plateformes géantes et de l'accélération de l'écoulement des glaciers continentaux qui s'en est suivie. Ces pertes dépasseraient d'ailleurs très largement les gains enregistrés par la légère augmentation des précipitations en Antarctique de l'Est. La banquise se révèle en fait extrêmement sensible au changement climatique.

Refroidissement scientifique

Du coté des sceptiques d’un réchauffement climatique (global warming) un certains nombres de personnes et des scientifiques cherchent à se faire entendre. On peut noter donc quelques articles peu audibles du coté des Etats-Unis (prison-planet.com) ou en Russie et en France par les voix de l’ancien Ministre Claude Allègre (novopress.info).

Nous avons donc une autre version du changement climatique qui s’apparenterait à un refroidissement climatique. En prenant en compte l’évolution des cycles du soleil nous nous dirigeons vers un refroidissement, un nouvel âge glaciaire (faible). Quel est donc la place au réchauffement climatique qui embrase la sphère politicienne et l’ensemble de la population ? Un phénomène d’agrégation ? Un consensus scientifique ? La science n’est pas un consensus, demandons à Copernic, Newton ou Galilée. Et puis des variations climatiques, l’homme, le « sapiens » en a connut !

Donc, el Niño, le phénomène climatique Atlantique chaud devrait perdre de sa puissance mais le phénomène perdurer, tandis que la Niña dans le Pacifique s’intensifier (évènements climatiques froids). La fonte des glaces du pole Nord et les différences de salinité quelle entraine provoqueront aussi le changement du Gulf Stream. Plus de doutes c’est un changement climatique qui se produit Nos émissions globales depuis l’avènement de l’industrie de gaz à effet de serre, ne sont donc aucunement responsables du réchauffement climatique. Nous pouvons donc continuer à vivre ainsi (proclamé "business as usual"), l’astre solaire provoque un changement climatique qui impactera nos sociétés et la répartition des populations sur la Terre


Ces données confirment d'ailleurs que la péninsule antarctique est aujourd'hui la zone du monde qui se réchauffe le plus rapidement.

Au total, les scientifiques américains estiment qu'entre les années 1992 et 2002, le Groenland aurait gagné 11 milliards de tonnes d'eau par an tandis que l'Antarctique en aurait perdu 31 milliards de tonnes. Ainsi la perte nette aurait été chaque année de 20 milliards de tonnes.

Selon une étude et les rapports de sénateurs français, il est constaté qu’au Groenland, il y a des pertes conséquentes au Sud-est mais des gains importants au centre. Ces accumulations sont le fait d'importantes chutes de neige. Au total, sur la décennie étudiée, le Groenland aurait vu sa masse de glace légèrement augmenter du fait de l'augmentation des précipitations. Cette donnée est évidemment très controversée puisqu'elle contredit plusieurs études antérieures ou sur des périodes plus récentes. Il semble que le cœur du débat soit de savoir "si la vitesse d'écoulement des glaciers qui serait de plus en plus rapide a un impact supérieur à l'augmentation des précipitations". Le terme pôle Nord appelé aussi le abusivement uniquement Groenland, est le point le plus au nord de la Terre. Le pôle Nord se situe au milieu de l'océan Arctique dans une zone en permanence couverte par la banquise.

Critiques des données instrumentales

Réalité ou non du réchauffement climatique

Bien que l'hypothèse d'un réchauffement climatique s'appuie sur les rapports du groupe I du GIEC rédigés par plus de 600 scientifiques.Parmi ceux-ci, certains ont récemment changé d'avis. nient l'existence d'un tel réchauffement.

Critiques des données instrumentales

Temperatures-rechauffement-climatique.jpg

Certains observateurs mettent en doute la qualité des mesures terrestres effectuées au XXe siècle et les conclusions qu'on peut en tirer. Selon eux, si les relevés effectués aux États-Unis sont nombreux et couvrent assez bien ce territoire, ceux qui furent effectués ailleurs sont moins fréquents et surtout moins denses et rendent donc hasardeuse la notion même de température moyenne globale. D'autre part, ces observateurs ont noté qu'une quantité significative de stations météorologiques ont été construites en région urbaine, où la température est généralement plus élevée qu'ailleurs, et se demandent si le réchauffement observé au cours du XXe siècle ne serait pas tout simplement dû en partie à l'intensification de l'activité humaine en milieu urbain. Selon certaines personnalités Modèle:Qui, les hausses de température seraient dues au fait que les mesures ont été faites près de centres urbains. C'est l'hypothèse de l'effet « Îlot de chaleur urbain » . Cependant, des traitements statistiques sont mis en œuvre pour corriger ces phénomènes. Ils sont également appliqués pour corriger les mesures prises le long des routes maritimes compte tenu des changements des trajets maritimes au cours du dernier siècle

Variation de la température moyenne du globe mesures terrestre. Bleu : valeur mensuelle M5 : moyenne sur 5 ans M10 : moyenne sur 10 ans M20 : moyenne sur 20 ans.
Variation de la température moyenne du globe mesurée par satellite. Bleu : valeur mensuelle M5 : moyenne sur 5 ans M10 : moyenne sur 10 ans M20 : moyenne sur 20 ans.

Le troisième rapport du GIEC (2001), qui utilise ces mesures terrestres, que les différences constatées entre les augmentations de températures des stations rurales d'une part et urbaines d'autre part n'affectent pas de façon significative les reconstitutions. Des études ultérieures ont confirmé qu'on ne pouvait attribuer l'augmentation des températures à cet effet de chaleur urbainCertains observateurs font remarquer que l'évolution des températures est corroboré par un grand nombre d'indicateurs Par exemple, les mesures satellitaires réalisées depuis vingt-cinq ans environ (plus précises et couvrant une superficie beaucoup plus grande que les mesures terrestres) sont conformes aux mesures de surface et tendent à confirmer l'estimation la plus basse du GIEC Le quatrième rapport< du GIEC (2007) note que les températures relevées par ballons sonde ou par satellites, loin de tout centre urbain, sont similaires aux mesures effectuées au sol. On observe également un réchauffement notable en Arctique, ainsi que dans les océans . Par ailleurs, l'hypothèse d'un réchauffement ne repose pas seulement sur des données mesurées, mais également sur des observations portant sur l'environnement (fonte de la banquise, élévation du niveau de la mer, précocité des vendanges ou migration d'espèces par exemple).

Critique des courbes de températures

Modèle:Article connexe Une autre critique concerne la reconstitution des températures depuis l'an mil utilisée dans le troisième rapport est particulièrement spectaculaire : la montée des températures lors du dernier siècle y apparaît inhabituelle au regard de l'évolution du dernier millénaire, accréditant la thèse d'un réchauffement d'origine anthropique. Steve McIntyre, un ingénieur travaillant dans les mines, et Ross McKitrick, un économiste, ont remis en cause la validité de cette reconstitution, considérant que des erreurs de méthodologie avaient entaché la procédure. Michael Mann, le chercheur à l'origine de la courbe, a violemment contesté ces affirmations, en particulier sur le blog « real climate ». L'affaire a eu des répercussions jusqu'au Sénat des États-Unis où le sénateur Joe Barton, opposé à la signature des accords de Kyoto, s'appuya sur l'article de McIntyre et McKitrick et sur le rapport qu'il avait demandé au statisticien Wegman qui allait dans le même sens pour contester les conclusions du GIEC sur l'influence de l'homme sur le climat. Dans le même temps, l'académie des sciences américaine commandait un autre rapport, dont les conclusions sont beaucoup plus favorables à Mann et à la courbe en crosse de hockey, même s'il critique la façon dont elle a été utilisée.

  • Pour certains, cette courbe a été délibérément falsifiée et c'est la preuve d'une véritable conspiration destinée à faire croire à une influence humaine sur le climat
  • Les défenseurs de la courbe font remarquer qu'elle n'est que la première d'une série de reconstitutions du climat de ces derniers siècles. Celle-ci a en effet été suivie par une dizaine d'autres entre 1999 et 2006, qui confirment toutes, malgré leur variante, la conclusion selon laquelle le climat de la fin du XXe siècle et du début du XXIe est probablement le plus chaud depuis plus de 1000 ans, surpassant l'optimum climatique médiéval
  • Le quatrième rapport du GIEC (2007) confirme les observations d'élévation de température au cours du dernier demi-siècle. Il estime à plus de 90% (respectivement plus de 66%) la probabilité que la température moyenne dans l'hémisphère nord entre 1950 et 2000 est la plus élevée que durant n'importe quelle autre période de 50 ans sur les derniers 500 ans (respectivement 1300 ans.


Références