Différences entre versions de « Nature - Ethique biocentrée »

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L'éthique biocentrée en relation à la nature est fortement associé à:
 
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* La [[Nouvelle encyclopédie de bioéthique]]
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* Parties importantes à prendre en considérations 
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* [[Développement durable - reflexion]]
  
= La nouvelle encyclopédie de bioéthique =
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[[Category:Ecologie_(Concepts)]]
Pour les auteurs de la « Nouvelle encyclopédie de Bioéthique »,  « le terme [[biocentrisme]] désigne les  théories  selon  lesquelles  les  frontières  de  la  communauté  morale  doivent  être  élargies  jusqu’à englober tous les êtres vivants, quels qu’ils soient. Il ne leur est évidemment pas demandé de se comporter comme des agents moraux mais on estime au moins qu’ils doivent bénéficier de restrictions normatives, par opposition à des restrictions simplement prudentielles pesant sur la conduite des agents moraux. » Les auteurs distinguent dans  le  livre deux  formes du biocentrisme. La première serait pour eux une  forme non  technique qui « voit dans  la vie comme  telle un  très grand bien, peut-être même  le bien suprême  et,  en  conséquence,  valorise  les  êtres  vivants  qui  sont  des manifestations  de  cette  vie. »  La seconde  forme,  plus  technique,  est une  théorie  contemporaine  en  éthique  environnementale,  « elle  est destinée à dépasser le [[zoocentrisme]] et à remédier aux faiblesses supposées de celui-ci.»
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[[Category:Ecosystème_(Concepts)]]
 
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[[Category:Education_aux_comportements_responsables]]
== Parties importantes à prendre en considérations == 
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[[Category:Changement_climatique_(Conceptions)]]
 
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[[Category:Changement_climatique_(Mots_clés)]]
* [[Développement durable - reflexion]]
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[[Category:Conceptions_liées_au_statut_de_l'Homme]]
Les bibliothèques  regorgent maintenant d’expériences, de  reportages, de  films catastrophes qui nous ont paru un support intéressant pour mener ce dossier. Ici se trouve un échantillon (non exhaustif) des œuvres qui nous ont sensibilisées, les questions qui y sont soulevées étant généralement nombreuses. Sauver  l’homme en protégeant  la nature pour qu’il s’en serve et donc, aider l’humanité à se développer, oui, mais au détriment de quoi ? Perte de biodiversité, développement de marchés parallèles, de mafias, et finalement diminution de  ressources nécessaires à  la survie de  l’homme… Protéger  la nature,  la mettre sous cloche et n’autoriser aucun prélèvement quel qu’il soit au détriment de peuplades dépendantes de ressources spécifiques. Et finalement, sauver l’homme lui-même en le parquant dans des « réserves » ?
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[[Category:Courant_philosophique]]
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[[Category:Education_à_l'environnement]]
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[[Category:Conceptions]]

Version actuelle datée du 14 décembre 2010 à 16:18

Les origines du mouvement

Mettre la nature au cœur des préoccupations, c’est bien là tout l’espoir du biocentrisme. Comprendre la nature comme une entité qui engloberait non seulement les êtres les plus microscopiques mais aussi les hommes et donner à chacun un droit équivalent. Ce paragraphe mettra en avant l’apparition de ce mouvement, d’où est-il venu et qui l’a développé seront les questions auxquelles nous essayerons de répondre. Terme apparu dans les années 70 au moment de la prise de conscience mondiale des problèmes environnementaux subis par notre planète, le mouvement biocentriste est issu d’une réflexion plus profonde menée par nombre de philosophes. Attachés au courant de l'éthique environnementale Tom Regan et Paul Taylor (1982) peuvent être considérés comme les tenants de ce mouvement qui fut introduit en France par Catherine Larrère (1992,1997,1999).

L'éthique biocentrée en relation à la nature est fortement associé à: