Différences entre versions de « Les IST »

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|Domaine-Discipline-Thématique-13= La complexité
 
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|Domaine-Discipline-Thématique-14= Le Normal et le pathologique
 
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*Les IST ont dans un premier temps été appelées '''[[maladies vénériennes]]''' (liées à Vénus, déesse de l’Amour) puis '''[[ maladies sexuellement transmissibles]]''' [[MST]] et enfin '''[[IST]]''' afin de tenir compte des formes asymptomatiques.
 
*Les IST ont dans un premier temps été appelées '''[[maladies vénériennes]]''' (liées à Vénus, déesse de l’Amour) puis '''[[ maladies sexuellement transmissibles]]''' [[MST]] et enfin '''[[IST]]''' afin de tenir compte des formes asymptomatiques.
 
*Ils dépendent du sexe, de l'agent pathogène.
 
*Ils dépendent du sexe, de l'agent pathogène.
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{{@}} ''' [[Les rapports de l'OMS]] '''
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:*Selon l'OMS (juin 2019) chaque jour, plus d’un million de personnes contractent une infection sexuellement transmissible.
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:*Dans les pays en développement, les MST et leurs complications figurent parmi les cinq premières catégories de pathologies pour lesquelles les adultes se font
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soigner. Chez les femmes en âge de procréer, les MST, sans compter l’infection à VIH, sont la deuxième
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cause de morbidité, de décès et de mauvaise santé durable après les facteurs maternels
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:*Les infections sexuellement transmissibles se transmettent principalement par contact cutané lors d’un rapport sexuel, vaginal, anal ou oral.
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:*Elles peuvent aussi se propager par d’autres voies, comme les transfusions sanguines. Un grand nombre d’IST, notamment la chlamydiose, la gonorrhée, l’hépatite B primaire, l’infection à VIH et la syphilis, se transmettent aussi de la mère à l’enfant pendant la grossesse et à l’accouchement.
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:*Elles sont « la principale cause évitable de stérilité, en particulier chez la femme ».
 
{{@}} ''' [[Histoire]] '''
 
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Les maladies sexuellement transmissibles (MST) sont aussi vieilles que l'humanité et les épidémies sont déjà mentionnées dans l'Ancien Testament. Cependant, la perception des conditions a changé au cours des siècles.  
 
Les maladies sexuellement transmissibles (MST) sont aussi vieilles que l'humanité et les épidémies sont déjà mentionnées dans l'Ancien Testament. Cependant, la perception des conditions a changé au cours des siècles.  
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***'''La trichomonas''': Cette affection arrive le plus fréquemment chez la femme jeune. Cette infection peut être à l'origine de '''[[vaginite]]''' chez la femme et d''''[[urétrite]]''' chez l'homme.
 
***'''La trichomonas''': Cette affection arrive le plus fréquemment chez la femme jeune. Cette infection peut être à l'origine de '''[[vaginite]]''' chez la femme et d''''[[urétrite]]''' chez l'homme.
 
**'''[[Bactériennes]]'''
 
**'''[[Bactériennes]]'''
***'''Les chlamydioses''': l'agent infectieux est Chlamydia trachomatis, plus courante chez les gens âgés de 14 à 25 ans généralement asymptomatique, sinon des démangeaisons et des douleurs au moment de la miction, le danger d'infertilité survient si elle n'est pas traitée.
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***'''Les chlamydioses''': l'agent infectieux est Chlamydia trachomatis, plus courante chez les gens âgés de 14 à 25 ans généralement asymptomatique, sinon des démangeaisons et des douleurs au moment de la miction, le danger d'infertilité survient si elle n'est pas traitée. Exemple: La lymphogranulomatose vénérienne (LGV) ou maladie de Nicolas-Favre, il s'agit d'une maladie tropicale, endémique dans certaines régions d’Afrique, en Amérique centrale et du Sud, et dans les Caraïbes, l’infection à Lymphogranuloma venerum a fait son apparition en 2003 puis s’est répandue dans le reste de l’Europe. Depuis, la LGV est devenue régulière, même si elle est peu fréquente (722 cas en 2018), chez les HsH en particulier.  
 
***'''La gonorrhée''': se transmet en même temps que la chlamydiose elle à le même risque et les mêmes symptômes.
 
***'''La gonorrhée''': se transmet en même temps que la chlamydiose elle à le même risque et les mêmes symptômes.
 
***'''La syphilis''' on la surnomme "la grande imitatrice" en raison de la vaste gamme de symptômes que peuvent ressentir les personnes infectées. Ces symptômes peuvent être confondus avec ceux d'autres états. L'agent pathogène est Treponema pallidum, bactérie mobile, pathogène strictement humain et non cultivable. Elle se développe en trois stades, le premier stade commence par un petit chancre indolore là où la bactérie entre dans l'organisme, au deuxième stade l'individu commence à se sentir mal avec des petits varilus dans les organes génitaux. Ces deux stades peuvent êtres traités par des antibiotique, le troisième stade est le plus dangereux et peut engendrer des problèmes cardiaques ou mentaux voir entrainer la mort. Maladie quasiment disparue dans les années 1990, retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000, la syphilis connait une résurgence nette depuis une quinzaine d’années (en France).
 
***'''La syphilis''' on la surnomme "la grande imitatrice" en raison de la vaste gamme de symptômes que peuvent ressentir les personnes infectées. Ces symptômes peuvent être confondus avec ceux d'autres états. L'agent pathogène est Treponema pallidum, bactérie mobile, pathogène strictement humain et non cultivable. Elle se développe en trois stades, le premier stade commence par un petit chancre indolore là où la bactérie entre dans l'organisme, au deuxième stade l'individu commence à se sentir mal avec des petits varilus dans les organes génitaux. Ces deux stades peuvent êtres traités par des antibiotique, le troisième stade est le plus dangereux et peut engendrer des problèmes cardiaques ou mentaux voir entrainer la mort. Maladie quasiment disparue dans les années 1990, retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000, la syphilis connait une résurgence nette depuis une quinzaine d’années (en France).
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***'''Le virus de l'immunodéficience humaine''' ou VIH La voie sexuelle et l'échange d'objets peuvent le véhiculer, il affecte le système immunitaire dont plusieurs symptômes tels ceux de la grippe, des éruptions cutanées et perte remarquable de poids et la longue la personne atteinte peu devenir très malade et mourir d'autres infections ou de cancers.
 
***'''Le virus de l'immunodéficience humaine''' ou VIH La voie sexuelle et l'échange d'objets peuvent le véhiculer, il affecte le système immunitaire dont plusieurs symptômes tels ceux de la grippe, des éruptions cutanées et perte remarquable de poids et la longue la personne atteinte peu devenir très malade et mourir d'autres infections ou de cancers.
 
*Dans la majorité des cas, les infections sexuellement transmissibles sont asymptomatiques ou s’accompagnent de symptômes bénins et les infections comme l’herpès génital (HSV de type 2), le syphilis augmentent le risque de contracter le VIH.
 
*Dans la majorité des cas, les infections sexuellement transmissibles sont asymptomatiques ou s’accompagnent de symptômes bénins et les infections comme l’herpès génital (HSV de type 2), le syphilis augmentent le risque de contracter le VIH.
{{@}} ''' [[Les rapports de l'OMS]] '''
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{{@}} ''' [[Les phases dévolution d'une IST ]] '''
:*Selon l'OMS (juin 2019) chaque jour, plus d’un million de personnes contractent une infection sexuellement transmissible.
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:*Les infections sexuellement transmissibles se transmettent principalement par contact cutané lors d’un rapport sexuel, vaginal, anal ou oral.
 
:*Elles peuvent aussi se propager par d’autres voies, comme les transfusions sanguines. Un grand nombre d’IST, notamment la chlamydiose, la gonorrhée, l’hépatite B primaire, l’infection à VIH et la syphilis, se transmettent aussi de la mère à l’enfant pendant la grossesse et à l’accouchement.7
 
 
{{@}} ''' [[Les moyens de préventions ]] '''
 
{{@}} ''' [[Les moyens de préventions ]] '''
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Toute personne peut être contaminée par les IST, et ce même lors d’un premier rapport sexuel. Se protéger des IST passe essentiellement par l’adoption du préservatif.
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'''~'''Les préservatifs
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Les préservatifs masculins et féminins sont les seuls moyens de contraception protégeant contre les IST ». Sachez que les autres moyens de contraception comme la pilule ou les spermicides par exemple ne protègent pas des IST.
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'''~'''Le vaccin
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Il existe deux vaccins efficaces protégeant contre deux IST : l’hépatite B et le papillomavirus. La vaccination contre l’hépatite B est obligatoire chez les nourrissons que chez les adultes non vaccinés et exposés à un risque de contamination.
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:*Distributions de posters dépliants et guide sur les moyens de contaminations et de prévention
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:*Promouvoir l’utilisation du préservatif
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:*Proposer le dépistage du VIH (en particulier dans les lycées et le universités)
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:*Informer des pratiques sexuelles à risque
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:*Conseiller les douches vaginales quotidiennes (femme)
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{{@}} ''' [[Le dépistage contre les IST ]] '''
 
:*La prévention des IST ne peut cependant se réduire à la promotion de comportements sexuels à moindre risque [Low et al., 2006 ; Warszawski et Goulet, 2007]
 
:*La prévention des IST ne peut cependant se réduire à la promotion de comportements sexuels à moindre risque [Low et al., 2006 ; Warszawski et Goulet, 2007]
 
:*Des stratégies de dépistage permettant un diagnostic précoce ont également leur place. En effet, une proportion importante de sujets infectés ne présente pas de symptômes ou de signes d'alertes pouvant les amener à consulter. Et mêmes lorsqu'ils existent, les symptômes sont peu spécifiques et peuvent disparaître spontanément. En outre, l'examen clinique ne suffit pas à affirmer le diagnostic, qui doit être confirmé par des tests de laboratoire effectués sur des prélèvements génitaux, urinaires ou sanguins selon l'infection suspectée.
 
:*Des stratégies de dépistage permettant un diagnostic précoce ont également leur place. En effet, une proportion importante de sujets infectés ne présente pas de symptômes ou de signes d'alertes pouvant les amener à consulter. Et mêmes lorsqu'ils existent, les symptômes sont peu spécifiques et peuvent disparaître spontanément. En outre, l'examen clinique ne suffit pas à affirmer le diagnostic, qui doit être confirmé par des tests de laboratoire effectués sur des prélèvements génitaux, urinaires ou sanguins selon l'infection suspectée.
 
Un diagnostic précoce des infections d'origine bactérienne ou parasitaire permet d'instaurer un traitement efficace, avec un double avantage : réduire d'une part la période pendant laquelle la personne infectée peut transmettre l'infection à ses partenaires, dont la durée varie de quelques jours à plusieurs années ; éviter d'autre part le développement silencieux des complications, comme c'est le cas de l'infertilité tubaire qui révèle trop souvent un antécédent passé inaperçu d'infection urogénitale.
 
Un diagnostic précoce des infections d'origine bactérienne ou parasitaire permet d'instaurer un traitement efficace, avec un double avantage : réduire d'une part la période pendant laquelle la personne infectée peut transmettre l'infection à ses partenaires, dont la durée varie de quelques jours à plusieurs années ; éviter d'autre part le développement silencieux des complications, comme c'est le cas de l'infertilité tubaire qui révèle trop souvent un antécédent passé inaperçu d'infection urogénitale.
 
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Selon les IST, différents types d’examens peuvent permettre le dépistage et le diagnostic sont:
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:*examen clinique des organes génitaux
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:*prélèvement local ou analyse d'urines avec mise en culture
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:*prise de sang.
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Les Dépistages les plus recommandés sont
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♦Le dépistage du VIH
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    →Par le '''TROD'''' (Test Rapide d’Orientation Diagnostique) permet d’avoir un résultat en 30 minutes maximum recommandé pour le dépistage du VIH et est totalement fiable trois mois après une prise de risque VIH, utilisables par toute personne souhaitant se dépister seule à domicile. Le prélèvement et l'interprétation sont effectués soit par l'intéressé lui même soit par un médecin généraliste ou un gynécologue. ce test doit être confirmé par un test ELISA qui se fait dans les laboratoires.
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    →Le '''test ELISA''' combiné et utilisé. Il consiste en la recherche des anticorps produits en présence du VIH, ainsi qu'une recherche d'une particule du virus, l'antigène p24,détectable plus tôt que les anticorps.
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    →Si le test ELISA est positif un second test appelé Western-Blot doit être fait pour savoir si le virus est réellement présent et c'est le seul test de confirmation si la personne est vraiment séropositive au VIH
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♦La Blennorragie à gonocoque se dépiste à l'aide d'un prélèvement à l'entrée du vagin pour la femme, au bout du pénis chez l'homme. Une analyse d'urine peut suffire.
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♦Le diagnostic de la chlamydiose se fonde sur un prélèvement local à l'entré du vagin chez la femme, et chez l'homme un recueil des urines ou un prélèvement à l'entrée de l'urètre.
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♦Le dépistage de l'Hépatite B nécessite une prise de sang afin d'effectuer une sérologie
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♦Le dépistage de l'herpès se fait à l'examen clinique des lésions, typiques, pour confirmer le diagnostic, des prélèvements cellulaires au niveau des peuvent être mis en culture au laboratoire.
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♦Les papillomavirus (HPV) peuvent être dépistés à l'examen clinique (en présence de condylomes) ou lors d'un frottis. en cas de frottis anormal un test HPV peut être prescrit. s'il est positif, une coloscopie est recommandée avec biopsie.
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♦La vaginite à trichomonas par prélèvement vaginal. 
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{{@}} ''' [[Les IST et l'économie ]] '''
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En suisse et au niveau sanitaire, les IST engendrent de graves conséquences sur la population en général et sur les coûts du système de santé. Lorsqu’elles sont non traitées comme mentionné précédemment, elles induisent des maladies chroniques, des décès, de la stérilité, des cancers, des malformations sévères et de la cécité chez les nouveau-nés.
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alors qu'au niveau économique, les coûts des traitements sont élevés. Pour le VIH par exemple, le PNVI (2010) affirme que le traitement d’une personne infectée coûte jusqu’à un million de francs suisse (25000 CHF par année durant une espérance de vie moyenne de 40 ans)
 
   
 
   
 
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Image:Evolution de la syphilis.jpg|Evolution de la syphilis
 
Image:Evolution de la syphilis.jpg|Evolution de la syphilis
 
Image:Agents pathogènes des IST.jpg|Agents pathogènes des IST
 
Image:Agents pathogènes des IST.jpg|Agents pathogènes des IST
 
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Image:Perception des IST.PNG|Perception des IST
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Image:ist_livr_ist_spf_1211_2016-1PDF|ist_livr_ist_spf_1211_2016-1
 
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<!-- ************************* Début modification Vidéo ******************************************************************-->
 
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|Mot-Clé-12=Paraphilies
 
|Mot-Clé-12=Paraphilies
 
|Mot-Clé-13=Libertinage
 
|Mot-Clé-13=Libertinage
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|Mot-Clé-14=TROD
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|Mot-Clé-15=Test ELISA
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* Confusion entre [[hépatite B (des IST) - Hépatite A et C (du foie)]]
 
* Confusion entre [[hépatite B (des IST) - Hépatite A et C (du foie)]]
 
* Confusion entre [[Herpès génital - VPH - Condylomes]]
 
* Confusion entre [[Herpès génital - VPH - Condylomes]]
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* Confusion entre [[Dépistage - Prévention]]
  
 
* Erreur fréquente:  
 
* Erreur fréquente:  
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:* Voir fiche et carte conceptuelle intitulées contraception
 
:* Voir fiche et carte conceptuelle intitulées contraception
 
:* LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES : CONNAISSANCES, COMPORTEMENTS SEXUELS,ATTITUDES DE PREVENTION ET LEURS OBSTACLES, DES JEUNES HAUT-NORMANDS
 
:* LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES : CONNAISSANCES, COMPORTEMENTS SEXUELS,ATTITUDES DE PREVENTION ET LEURS OBSTACLES, DES JEUNES HAUT-NORMANDS
CONSULTANT EN MEDECINE GENERALE.(THESE POUR LE DOCTORAT DE MEDECINE, de CRESSANT Emelyne, 2017)https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01482310/document
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CONSULTANT EN MEDECINE GENERALE.(THESE POUR LE DOCTORAT DE MEDECINE, de CRESSANT Emelyne, 2017) https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01482310/document
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:* '''[[Guide pour IST]]''' http://www.chu-limoges.fr/IMG/pdf/ist_livre_ist_spf_1211_2016-1.pdf
  
 
}}<!-- ************ Fin Liens Education ********************** -->
 
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<!-- ****************** Commercez les modifications *********************-->
 
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* https://microbiologiemedicale.fr/place-des-ist/                                        
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* https://microbiologiemedicale.fr/place-des-ist/
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* https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/mst/ist/depistage                                       
 
* https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/sexually-transmitted-infections-(stis)#:~:text=Sur%20ces%208%20infections%2C%204,le%20papillomavirus%20humain%20(VPH).
 
* https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/sexually-transmitted-infections-(stis)#:~:text=Sur%20ces%208%20infections%2C%204,le%20papillomavirus%20humain%20(VPH).
 
* https://aurore.unilim.fr/memoires/nxfile/default/0376ef64-5068-4d8d-a159-6b085de731c4/blobholder:0/M-SM2016-002.pdf                                                 
 
* https://aurore.unilim.fr/memoires/nxfile/default/0376ef64-5068-4d8d-a159-6b085de731c4/blobholder:0/M-SM2016-002.pdf                                                 
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* Connaissances, attitudes et pratiques relatives aux IST/VIH/sida : cas des hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes au Sénégal - 19/10/11,REVUE D'EPIDÉMIOLOGIE ET DE SANTÉ PUBLIQUE, Vol 59 - N° 5P. 305-311 - octobre 2011                                               
 
* Connaissances, attitudes et pratiques relatives aux IST/VIH/sida : cas des hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes au Sénégal - 19/10/11,REVUE D'EPIDÉMIOLOGIE ET DE SANTÉ PUBLIQUE, Vol 59 - N° 5P. 305-311 - octobre 2011                                               
 
* Warszawski Josiane, Goulet Véronique, « Infections sexuellement transmissibles : des conditions inégales d'accès au dépistage », dans : Nathalie Bajos éd., Enquête sur la sexualité en France. Pratiques, genre et santé. Paris, La Découverte, « Hors Collection Social », 2008, p. 461-484. DOI : 10.3917/dec.bajos.2008.01.0461. URL : https://www.cairn.info/enquete-sur-la-sexualite-en-france--9782707154293-page-461.htm
 
* Warszawski Josiane, Goulet Véronique, « Infections sexuellement transmissibles : des conditions inégales d'accès au dépistage », dans : Nathalie Bajos éd., Enquête sur la sexualité en France. Pratiques, genre et santé. Paris, La Découverte, « Hors Collection Social », 2008, p. 461-484. DOI : 10.3917/dec.bajos.2008.01.0461. URL : https://www.cairn.info/enquete-sur-la-sexualite-en-france--9782707154293-page-461.htm
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* http://www.chu-limoges.fr/IMG/pdf/ist_livre_ist_spf_1211_2016-1.pdf
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* Cécile Bébéar, Dépistage des IST : Quels nouveaux outils? Quelles recommandations ?,2018, French National Center for bacterial STIs Bordeaux University hospital, Bordeaux, France University of Bordeaux, INRA, France  https://www.infectiologie.com/UserFiles/File/reunion/2018-prep-ist/2018-prep-ist-bebear2.pdf
 
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Définition écrite



Blue-circle-target.png Les rapports de l'OMS

  • Selon l'OMS (juin 2019) chaque jour, plus d’un million de personnes contractent une infection sexuellement transmissible.
  • Dans les pays en développement, les MST et leurs complications figurent parmi les cinq premières catégories de pathologies pour lesquelles les adultes se font

soigner. Chez les femmes en âge de procréer, les MST, sans compter l’infection à VIH, sont la deuxième cause de morbidité, de décès et de mauvaise santé durable après les facteurs maternels

  • Les infections sexuellement transmissibles se transmettent principalement par contact cutané lors d’un rapport sexuel, vaginal, anal ou oral.
  • Elles peuvent aussi se propager par d’autres voies, comme les transfusions sanguines. Un grand nombre d’IST, notamment la chlamydiose, la gonorrhée, l’hépatite B primaire, l’infection à VIH et la syphilis, se transmettent aussi de la mère à l’enfant pendant la grossesse et à l’accouchement.
  • Elles sont « la principale cause évitable de stérilité, en particulier chez la femme ».


Blue-circle-target.png Histoire Les maladies sexuellement transmissibles (MST) sont aussi vieilles que l'humanité et les épidémies sont déjà mentionnées dans l'Ancien Testament. Cependant, la perception des conditions a changé au cours des siècles.

  • Dans les temps anciens, ils étaient pris pour une punition individuelle pour une conduite de vie blasphémique ou en raison d'un manque d'assainissement et d'hygiène.
  • À l'époque médiévale, la relation aux activités sexuelles était reconnue, mais la diversité des symptômes cliniques était considérée comme des variations d'une maladie, en fonction du stade de la maladie et de l'état de santé général de la personne malade.
  • À la fin du XVe et au XVIe siècle, un "nouveau fléau" présumé avait été importé en Europe et s'était rapidement propagé par les soldats.
  • Des interprétations erronées d'expériences fausses sur l'identité présumée de la syphilis et de la gonorrhée ont conduit à des idées fausses nosologiques au 17ème et au début du 19ème siècle.
  • La fin du 19e et le début du 20e siècle en raison des nombreuses réalisations en microbiologie et en chimie ont finalement pris la menace effrayante des MST, qui ont terrorisé des millions de personnes "normales" et "célèbres" de toutes les classes sociales au cours des siècles et ont été liées à de nombreux scandales. Alors que la découverte de la pénicilline entraine une chute des cas de syphilis, permettant la guérison de cette maladie, un nouveau mal fait son apparition dans les années 80 et la perception des MST est passée d'un «coup du sort personnel» à une question de santé publique collectivement importante.
  • Parmi les célèbres on cite Maupassant qui à contracté la maladie à l'âge de 27 ans et il l'a déclaré dans ces écrits « Tu ne devineras jamais la merveilleuse découverte que mon médecin vient de faire en moi… La vérole… J’ai la vérole, enfin la vraie, pas la misérable chaude-pisse, pas l’ecclésiastique christalline… non, la grande vérole, celle dont est mort François Ier. Et j’en suis fier, malheur…, j’ai la vérole, par conséquent je n’ai plus peur de l’attraper » Maupassant, 1877, Lettre à son ami Pinchon (47) Devenant fou, il fut interné et succomba à la maladie en 1893.Il ne fut pas le seul, la vérole touchant de plein fouet le monde littéraire et artistique. Apollinaire, Daudet, Baudelaire, Schubert, Musset, Verlaine, Gauguin, Toulouse Lautrec et bien d’autres souffrirent de ce mal honteux.
  • En ce début de XXIème siècle, Malgré des traitements efficaces contre les maladies sexuelles, malgré une utilisation du préservatif qui se banalise fortement, les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont en pleine recrudescence en France. La syphilis fait son retour sur les devants de la scène.


Blue-circle-target.png Typologie

  • Les IST sont classées en trois familles
    • Parasitaires
      • Les poux du pubis, aussi appelés morpions , sont de petits insectes présents dans les poils des organes génitaux qui se transmettent lors de contacts sexuels. Ils peuvent également se transmettre par contact avec des objets contaminés comme les serviettes, les vêtements, les articles de toilette ou la literie. Ils se propagent surtout à la poitrine, aux aisselles et aux cheveux, mais aussi, parfois, aux cils, à la moustache et à la barbe.
      • La gale
      • La trichomonas: Cette affection arrive le plus fréquemment chez la femme jeune. Cette infection peut être à l'origine de vaginite chez la femme et d'urétrite chez l'homme.
    • Bactériennes
      • Les chlamydioses: l'agent infectieux est Chlamydia trachomatis, plus courante chez les gens âgés de 14 à 25 ans généralement asymptomatique, sinon des démangeaisons et des douleurs au moment de la miction, le danger d'infertilité survient si elle n'est pas traitée. Exemple: La lymphogranulomatose vénérienne (LGV) ou maladie de Nicolas-Favre, il s'agit d'une maladie tropicale, endémique dans certaines régions d’Afrique, en Amérique centrale et du Sud, et dans les Caraïbes, l’infection à Lymphogranuloma venerum a fait son apparition en 2003 puis s’est répandue dans le reste de l’Europe. Depuis, la LGV est devenue régulière, même si elle est peu fréquente (722 cas en 2018), chez les HsH en particulier.
      • La gonorrhée: se transmet en même temps que la chlamydiose elle à le même risque et les mêmes symptômes.
      • La syphilis on la surnomme "la grande imitatrice" en raison de la vaste gamme de symptômes que peuvent ressentir les personnes infectées. Ces symptômes peuvent être confondus avec ceux d'autres états. L'agent pathogène est Treponema pallidum, bactérie mobile, pathogène strictement humain et non cultivable. Elle se développe en trois stades, le premier stade commence par un petit chancre indolore là où la bactérie entre dans l'organisme, au deuxième stade l'individu commence à se sentir mal avec des petits varilus dans les organes génitaux. Ces deux stades peuvent êtres traités par des antibiotique, le troisième stade est le plus dangereux et peut engendrer des problèmes cardiaques ou mentaux voir entrainer la mort. Maladie quasiment disparue dans les années 1990, retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000, la syphilis connait une résurgence nette depuis une quinzaine d’années (en France).
    • Virales

s'attaquent à de nombreuses parties du corps en même temps et sont au nombre de quatre:

      • Le papillomavirus humain (VPH) est l'infection virale la plus rependue et transmissibles par les rapports sexuels oraux, anaux ou vaginaux cependant le virus se propage aussi par contact peau à peau. si le virus n'est pas traité il peut induire des cancers mais souvent il est asymptomatique. la vaccination peut prévenir contre ce virus.
      • l'hépatite B s'attaque au foie mais il ne faux pas la confondre avec l'hépatite A ou C qui sont des maladies caractéristiques du foie, il se transmet non seulement par voie sexuelle mais aussi par échange d'objets.
      • L'herpès génital: causé par le virus Herpès simplex qui est de la même famille du virus qui provoque les feux sauvages autour de la bouche, il infecte la région génitale et engendrer des vésicules douloureuses. le virus se transmet par des activités sexuelles ou même par contact de peau à peau.
      • Le virus de l'immunodéficience humaine ou VIH La voie sexuelle et l'échange d'objets peuvent le véhiculer, il affecte le système immunitaire dont plusieurs symptômes tels ceux de la grippe, des éruptions cutanées et perte remarquable de poids et la longue la personne atteinte peu devenir très malade et mourir d'autres infections ou de cancers.
  • Dans la majorité des cas, les infections sexuellement transmissibles sont asymptomatiques ou s’accompagnent de symptômes bénins et les infections comme l’herpès génital (HSV de type 2), le syphilis augmentent le risque de contracter le VIH.


Blue-circle-target.png Les phases dévolution d'une IST


Blue-circle-target.png Les moyens de préventions Toute personne peut être contaminée par les IST, et ce même lors d’un premier rapport sexuel. Se protéger des IST passe essentiellement par l’adoption du préservatif. ~Les préservatifs Les préservatifs masculins et féminins sont les seuls moyens de contraception protégeant contre les IST ». Sachez que les autres moyens de contraception comme la pilule ou les spermicides par exemple ne protègent pas des IST. ~Le vaccin Il existe deux vaccins efficaces protégeant contre deux IST : l’hépatite B et le papillomavirus. La vaccination contre l’hépatite B est obligatoire chez les nourrissons que chez les adultes non vaccinés et exposés à un risque de contamination.

  • Distributions de posters dépliants et guide sur les moyens de contaminations et de prévention
  • Promouvoir l’utilisation du préservatif
  • Proposer le dépistage du VIH (en particulier dans les lycées et le universités)
  • Informer des pratiques sexuelles à risque
  • Conseiller les douches vaginales quotidiennes (femme)


Blue-circle-target.png Le dépistage contre les IST

  • La prévention des IST ne peut cependant se réduire à la promotion de comportements sexuels à moindre risque [Low et al., 2006 ; Warszawski et Goulet, 2007]
  • Des stratégies de dépistage permettant un diagnostic précoce ont également leur place. En effet, une proportion importante de sujets infectés ne présente pas de symptômes ou de signes d'alertes pouvant les amener à consulter. Et mêmes lorsqu'ils existent, les symptômes sont peu spécifiques et peuvent disparaître spontanément. En outre, l'examen clinique ne suffit pas à affirmer le diagnostic, qui doit être confirmé par des tests de laboratoire effectués sur des prélèvements génitaux, urinaires ou sanguins selon l'infection suspectée.

Un diagnostic précoce des infections d'origine bactérienne ou parasitaire permet d'instaurer un traitement efficace, avec un double avantage : réduire d'une part la période pendant laquelle la personne infectée peut transmettre l'infection à ses partenaires, dont la durée varie de quelques jours à plusieurs années ; éviter d'autre part le développement silencieux des complications, comme c'est le cas de l'infertilité tubaire qui révèle trop souvent un antécédent passé inaperçu d'infection urogénitale. Selon les IST, différents types d’examens peuvent permettre le dépistage et le diagnostic sont:

  • examen clinique des organes génitaux
  • prélèvement local ou analyse d'urines avec mise en culture
  • prise de sang.

Les Dépistages les plus recommandés sont

♦Le dépistage du VIH 
   →Par le TROD' (Test Rapide d’Orientation Diagnostique) permet d’avoir un résultat en 30 minutes maximum recommandé pour le dépistage du VIH et est totalement fiable trois mois après une prise de risque VIH, utilisables par toute personne souhaitant se dépister seule à domicile. Le prélèvement et l'interprétation sont effectués soit par l'intéressé lui même soit par un médecin généraliste ou un gynécologue. ce test doit être confirmé par un test ELISA qui se fait dans les laboratoires.
   →Le test ELISA combiné et utilisé. Il consiste en la recherche des anticorps produits en présence du VIH, ainsi qu'une recherche d'une particule du virus, l'antigène p24,détectable plus tôt que les anticorps.
   →Si le test ELISA est positif un second test appelé Western-Blot doit être fait pour savoir si le virus est réellement présent et c'est le seul test de confirmation si la personne est vraiment séropositive au VIH
♦La Blennorragie à gonocoque se dépiste à l'aide d'un prélèvement à l'entrée du vagin pour la femme, au bout du pénis chez l'homme. Une analyse d'urine peut suffire.
♦Le diagnostic de la chlamydiose se fonde sur un prélèvement local à l'entré du vagin chez la femme, et chez l'homme un recueil des urines ou un prélèvement à l'entrée de l'urètre.
♦Le dépistage de l'Hépatite B nécessite une prise de sang afin d'effectuer une sérologie
♦Le dépistage de l'herpès se fait à l'examen clinique des lésions, typiques, pour confirmer le diagnostic, des prélèvements cellulaires au niveau des peuvent être mis en culture au laboratoire. 
♦Les papillomavirus (HPV) peuvent être dépistés à l'examen clinique (en présence de condylomes) ou lors d'un frottis. en cas de frottis anormal un test HPV peut être prescrit. s'il est positif, une coloscopie est recommandée avec biopsie.

♦La vaginite à trichomonas par prélèvement vaginal.
Blue-circle-target.png Les IST et l'économie En suisse et au niveau sanitaire, les IST engendrent de graves conséquences sur la population en général et sur les coûts du système de santé. Lorsqu’elles sont non traitées comme mentionné précédemment, elles induisent des maladies chroniques, des décès, de la stérilité, des cancers, des malformations sévères et de la cécité chez les nouveau-nés. alors qu'au niveau économique, les coûts des traitements sont élevés. Pour le VIH par exemple, le PNVI (2010) affirme que le traitement d’une personne infectée coûte jusqu’à un million de francs suisse (25000 CHF par année durant une espérance de vie moyenne de 40 ans)


More-didaquest.png Les IST - Historique (+)


Définition graphique




Puce-didaquest.png Concepts ou notions associés


More-didaquest.png Les IST - Glossaire / (+)



Puce-didaquest.png Exemples, applications, utilisations

  • La santé sexuelle chez les jeunes
 **Sensibiliser les jeunes du danger des relations sexuelles non protégées, les risques liés à l'homosexualité et les moyens de préventions contre les IST
  • Education à la santé
 **"L’école apparaît comme le lieu privilégié d’accès aux informations et aux connaissances scientifiques qui permettent à l’élève de porter un regard critique sur certaines des représentations associées à la sexualité et de le rendre autonome et responsable dans sa sexualité." Selon Sami Abdelli

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Idées ou Réflexions liées à son enseignement



Aides et astuces



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