Différences entre versions de « Conformisme - Anticonformisme »

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Le conformisme est une attitude très largement étudiée en sciences sociales qui correspond à un comportement qui est en accord avec ce qui est attendu d'un individu ou d'un groupe dans une situation donnée : être conforme veut dire ne pas dévier de la norme admise, ne pas prendre une liberté en agissant de façon différente de ce qui est attendu, socialement.
 
Le conformisme est une attitude très largement étudiée en sciences sociales qui correspond à un comportement qui est en accord avec ce qui est attendu d'un individu ou d'un groupe dans une situation donnée : être conforme veut dire ne pas dévier de la norme admise, ne pas prendre une liberté en agissant de façon différente de ce qui est attendu, socialement.
 
'''Terminologie'''
 
'''Terminologie'''
Emprunté de l’anglais « conformity », le mot est dérivé du français, « conforme » et fait référence, au XVIIe siècle, à la personne qui menait une conduite traditionaliste et qui était en accord avec le contexte et le milieu où elle vivait, celui qui professait la religion officielle8.
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Emprunté de l’anglais « conformity », le mot est dérivé du français, « conforme » et fait référence, au XVIIe siècle, à la personne qui menait une conduite traditionaliste et qui était en accord avec le contexte et le milieu où elle vivait, celui qui professait la religion officielle.
 
Il n'existe pas une seule forme de conformisme, mais bien plusieurs. Cette diversité est due aux différents facteurs qui modulent le phénomène1. Il faut d'abord prendre en compte les caractéristiques de la cible et celle de la source, le contexte dans lequel la cible et la source interagissent et la relation qu'elles entretiennent.
 
Il n'existe pas une seule forme de conformisme, mais bien plusieurs. Cette diversité est due aux différents facteurs qui modulent le phénomène1. Il faut d'abord prendre en compte les caractéristiques de la cible et celle de la source, le contexte dans lequel la cible et la source interagissent et la relation qu'elles entretiennent.
'''Les trois formes de conformisme de Kelman[modifier'''  
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'''Les trois formes de conformisme de Kelman'''  
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C'est à travers la relation qu'entretiennent la cible et la source, que Kelman (1958) a mis en évidence trois formes de conformisme :
 
C'est à travers la relation qu'entretiennent la cible et la source, que Kelman (1958) a mis en évidence trois formes de conformisme :
 
'''Le conformisme par complaisance'''
 
'''Le conformisme par complaisance'''
Celui-ci apparaît dans les relations de pouvoir où il est préférable pour l’individu de se conformer, afin de préserver l’approbation du groupe. Dans ce cas de figure, les croyances du sujet ne sont pas atteintes1. Il s’agit d’une influence superficielle. Il souhaite ainsi éviter de se faire remarquer en évitant de donner une réponse allant à l’encontre de l’avis général. Ce type de conformisme prend souvent forme dans des situations de pouvoir9.
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Celui-ci apparaît dans les relations de pouvoir où il est préférable pour l’individu de se conformer, afin de préserver l’approbation du groupe. Dans ce cas de figure, les croyances du sujet ne sont pas atteintes1. Il s’agit d’une influence superficielle. Il souhaite ainsi éviter de se faire remarquer en évitant de donner une réponse allant à l’encontre de l’avis général. Ce type de conformisme prend souvent forme dans des situations de pouvoir.
 
'''Le conformisme par identification'''
 
'''Le conformisme par identification'''
Dans le cas présent, le conformisme découle du désir de l’individu à vouloir entretenir des relations positives avec le groupe1. L’individu veut se faire accepter. Le changement est plus durable et s’exprime même en dehors du groupe9.
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Dans le cas présent, le conformisme découle du désir de l’individu à vouloir entretenir des relations positives avec le groupe1. L’individu veut se faire accepter. Le changement est plus durable et s’exprime même en dehors du groupe.
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'''Le conformisme par intériorisation'''
 
'''Le conformisme par intériorisation'''
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Lorsque la source est hautement crédibilisée, le sujet intériorise le message dans son système de valeur1, La source d’influence est considérée comme experte. Il s’agit ici d’une totale conversion car la norme est intériorisée.
 
Lorsque la source est hautement crédibilisée, le sujet intériorise le message dans son système de valeur1, La source d’influence est considérée comme experte. Il s’agit ici d’une totale conversion car la norme est intériorisée.
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'''En sociologie'''
 
'''En sociologie'''
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Le conformisme est une attitude commune, plus que son opposé; les gens se comportent généralement tel qu'il est attendu d'eux dans une situation donnée. Il ne s'agit pas d'un biais, mais d'une attitude renforçant la régulation sociale et la cohésion sociale par l'adhésion aux normes sociales, tout en permettant d'anticiper les actions des autres.
 
Le conformisme est une attitude commune, plus que son opposé; les gens se comportent généralement tel qu'il est attendu d'eux dans une situation donnée. Il ne s'agit pas d'un biais, mais d'une attitude renforçant la régulation sociale et la cohésion sociale par l'adhésion aux normes sociales, tout en permettant d'anticiper les actions des autres.
Robert K. Merton rajoute quant à lui deux autres formes de conformismes10.
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Robert K. Merton rajoute quant à lui deux autres formes de conformismes.
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'''Le conformisme d'innovation'''
 
'''Le conformisme d'innovation'''
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Lorsqu'un individu accepte les objectifs du groupe mais refuse d'utiliser les moyens socialement légitimes de les atteindre. Par exemple, un individu pourra avoir un comportement criminel pour atteindre richesse et pouvoir.
 
Lorsqu'un individu accepte les objectifs du groupe mais refuse d'utiliser les moyens socialement légitimes de les atteindre. Par exemple, un individu pourra avoir un comportement criminel pour atteindre richesse et pouvoir.
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'''Le conformisme ritualisme'''
 
'''Le conformisme ritualisme'''
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Celui-ci pousserait le sujet à une conformité extrêmement scrupuleuse face aux normes de la société. Selon Merton, il s'agirait d'une adaptation mise en place par la cible pour éviter la frustration. Ce type de conformisme se retrouve particulièrement dans les classes sociales moyennes, car c'est là que l'accent est mis sur la morale.
 
Celui-ci pousserait le sujet à une conformité extrêmement scrupuleuse face aux normes de la société. Selon Merton, il s'agirait d'une adaptation mise en place par la cible pour éviter la frustration. Ce type de conformisme se retrouve particulièrement dans les classes sociales moyennes, car c'est là que l'accent est mis sur la morale.
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'''Expériences célèbres'''
 
'''Expériences célèbres'''
 
'''L'expérience de Shérif''' : effet auto-cinétique
 
'''L'expérience de Shérif''' : effet auto-cinétique
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C'est à Muzafer Sherif que l'on doit les expériences fondatrices du concept de normalisation. Lors de cette expérience, Shérif exploite l’effet auto-cinétique, une illusion d’optique qui prouve que lorsqu'on observe un point lumineux sans autre point de référence, on a l'impression que le point bouge.
 
C'est à Muzafer Sherif que l'on doit les expériences fondatrices du concept de normalisation. Lors de cette expérience, Shérif exploite l’effet auto-cinétique, une illusion d’optique qui prouve que lorsqu'on observe un point lumineux sans autre point de référence, on a l'impression que le point bouge.
 
Sherif invite donc des sujets à se prêter au jeu en les installant dans une pièce sombre et en leur demandant de déterminer si le point lumineux est en mouvement ou pas. Dans la première condition, le sujet répond d'abord seul, puis en groupe. Dans la seconde il y répond d'abord en groupe puis seul.
 
Sherif invite donc des sujets à se prêter au jeu en les installant dans une pièce sombre et en leur demandant de déterminer si le point lumineux est en mouvement ou pas. Dans la première condition, le sujet répond d'abord seul, puis en groupe. Dans la seconde il y répond d'abord en groupe puis seul.
 
Les résultats ont pu démontrer que lorsque le sujet était dans la première condition (d'abord seul), il se crée sa propre valeur centrale puis converge vers la norme du groupe. Dans la seconde condition, le sujet se base sur la norme du groupe pour répondre individuellement.
 
Les résultats ont pu démontrer que lorsque le sujet était dans la première condition (d'abord seul), il se crée sa propre valeur centrale puis converge vers la norme du groupe. Dans la seconde condition, le sujet se base sur la norme du groupe pour répondre individuellement.
Cette expérience suggère donc qu'en cas d'incertitude, l'individu utilise le groupe comme source d'information9.
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Cette expérience suggère donc qu'en cas d'incertitude, l'individu utilise le groupe comme source d'information.
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'''L'expérience de Asch''' : effet du conformisme
 
'''L'expérience de Asch''' : effet du conformisme
 
Expérience de Asch
 
Expérience de Asch
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C'est grâce à une tâche de discrimination perceptive qu'Asch a souhaité démontrer l'effet de conformisme. Pour ce faire, un sujet était invité à prendre place dans une salle où se trouvaient déjà sept autres personnes, qui elles, étaient des complices de l'expérimentateur. Aussi, le sujet naïf était placé de façon qu’il se retrouvait être le dernier à répondre aux questions qu'on lui posait.
 
C'est grâce à une tâche de discrimination perceptive qu'Asch a souhaité démontrer l'effet de conformisme. Pour ce faire, un sujet était invité à prendre place dans une salle où se trouvaient déjà sept autres personnes, qui elles, étaient des complices de l'expérimentateur. Aussi, le sujet naïf était placé de façon qu’il se retrouvait être le dernier à répondre aux questions qu'on lui posait.
 
Dans un premier temps, il montrait aux sujets une image sur laquelle était tracée une ligne. La tâche consistait à retrouver sur une deuxième image, où étaient tracées trois lignes différentes « A, B et C », laquelle était de longueur identique à la ligne tracée sur la première image. La tâche était relativement simple, étant donné que les lignes A et B étaient manifestement différentes.
 
Dans un premier temps, il montrait aux sujets une image sur laquelle était tracée une ligne. La tâche consistait à retrouver sur une deuxième image, où étaient tracées trois lignes différentes « A, B et C », laquelle était de longueur identique à la ligne tracée sur la première image. La tâche était relativement simple, étant donné que les lignes A et B étaient manifestement différentes.
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• lorsque le nombre représentant la majorité (les complices) était inférieur à '''3''', l’influence baissait ;
 
• lorsque le nombre représentant la majorité (les complices) était inférieur à '''3''', l’influence baissait ;
 
• lorsque le nombre représentant la majorité atteignait '''4''' ou +, l’influence augmentait.
 
• lorsque le nombre représentant la majorité atteignait '''4''' ou +, l’influence augmentait.
Cette expérience a donc démontré que le groupe a le pouvoir de nous faire choisir la mauvaise réponse, même lorsque cela est évident
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Cette expérience a donc démontré que le groupe a le pouvoir de nous faire choisir la mauvaise réponse, même lorsque cela est évident Influence de la minorité
Influence de la minorité[modifier | modifier le code]
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'''L'expérience de Asch''' suscite encore beaucoup de questions. '''Certains auteurs, comme Serge Moscovici''' (1979) postulent qu'il ne s'agit pas d'une influence majoritaire, qui pousse un individu à se conformer, mais plutôt d'une influence minoritaire. Selon lui, il n'est pas exclu que le sujet naïf, qui participe pour la première fois à une expérience, considère ses compères comme des gens un peu bizarres et décalés. Pour cet individu, la majorité, c'est celle de l'extérieur, celle qui est du même avis que lui.
 
'''L'expérience de Asch''' suscite encore beaucoup de questions. '''Certains auteurs, comme Serge Moscovici''' (1979) postulent qu'il ne s'agit pas d'une influence majoritaire, qui pousse un individu à se conformer, mais plutôt d'une influence minoritaire. Selon lui, il n'est pas exclu que le sujet naïf, qui participe pour la première fois à une expérience, considère ses compères comme des gens un peu bizarres et décalés. Pour cet individu, la majorité, c'est celle de l'extérieur, celle qui est du même avis que lui.
 
À travers cette vision, les résultats pourraient donc être interprétés de la façon suivante : plus de 30 % des individus se laissent influencer par une minorité. Cette idée donnera lieu au courant de recherche sur l'influence de la minorité
 
À travers cette vision, les résultats pourraient donc être interprétés de la façon suivante : plus de 30 % des individus se laissent influencer par une minorité. Cette idée donnera lieu au courant de recherche sur l'influence de la minorité
  
 
{{Anticonformisme}}
 
{{Anticonformisme}}
* anticonformiste , nom
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Traduction anglais : non-conformist
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* '''anticonformiste''' , nom Traduction anglais : non-conformiste
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Le terme anticonformiste est apparu au milieu du xxe siècle. Il est formé de l'élément du grec anti- (αντι) qui signifie « en face de », « contre », et du nom conformiste, qui désigne quelqu'un qui se conforme aux normes
 
Le terme anticonformiste est apparu au milieu du xxe siècle. Il est formé de l'élément du grec anti- (αντι) qui signifie « en face de », « contre », et du nom conformiste, qui désigne quelqu'un qui se conforme aux normes
 
L'anticonformiste est donc le contraire du conformiste. On emploie ce mot pour désigner l'attitude d'opposition à celui-ci, voire l'hostilité aux normes, aux usages établis.
 
L'anticonformiste est donc le contraire du conformiste. On emploie ce mot pour désigner l'attitude d'opposition à celui-ci, voire l'hostilité aux normes, aux usages établis.
 
Tout individu qui, en société, s'écarte de la norme, est ainsi souvent considéré comme anormal, et même parfois, déviant.
 
Tout individu qui, en société, s'écarte de la norme, est ainsi souvent considéré comme anormal, et même parfois, déviant.
'''L'anticonformiste,''' lui, est souvent un individualiste, mot dérivé du latin dividere, qui signifie « diviser », « séparer ». Il est « séparé » de la masse, de son milieu, parce qu'il ne se conforme pas aux modèles édictés par la majorité. L'anticonformiste refuse donc d'être celui ou celle qu'il convient d'être. Il revendique son originalité ; en effet, l'anticonformiste souhaite innover, inventer.
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'''L'anticonformiste,'''  
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lui, est souvent un individualiste, mot dérivé du latin dividere, qui signifie « diviser », « séparer ». Il est « séparé » de la masse, de son milieu, parce qu'il ne se conforme pas aux modèles édictés par la majorité. L'anticonformiste refuse donc d'être celui ou celle qu'il convient d'être. Il revendique son originalité ; en effet, l'anticonformiste souhaite innover, inventer.
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Par exemple, les artistes romantiques du début du XIXe siècle ou les peintres impressionnistes qui s'opposèrent alors, par leur liberté créative, aux normes esthétiques de la peinture académique. Et, plus proche de nous, le mouvement surréaliste qui a marqué profondément les années 1920-1930
 
Par exemple, les artistes romantiques du début du XIXe siècle ou les peintres impressionnistes qui s'opposèrent alors, par leur liberté créative, aux normes esthétiques de la peinture académique. Et, plus proche de nous, le mouvement surréaliste qui a marqué profondément les années 1920-1930
 
 
'''Le philosophe René Girard''' a formulé la théorie du désir mimétique selon laquelle l’individu a tendance à imiter les comportements de ses pairs pour assurer son bien-être à l’intérieur du groupe. Cependant, le fait de désirer le même objet que les autres provoque une sorte de tension dans la relation interpersonnelle, qui révèle la dimension conflictuelle de l’imitation et son rapport avec la violence. « En d'autres termes, faire de l'Autre un modèle, c'est faire de lui un rival ». Aussi, Girard va plus loin en affirmant que « derrière chaque mouvement non conformiste se cache juste un autre comportement conformiste ».
 
'''Le philosophe René Girard''' a formulé la théorie du désir mimétique selon laquelle l’individu a tendance à imiter les comportements de ses pairs pour assurer son bien-être à l’intérieur du groupe. Cependant, le fait de désirer le même objet que les autres provoque une sorte de tension dans la relation interpersonnelle, qui révèle la dimension conflictuelle de l’imitation et son rapport avec la violence. « En d'autres termes, faire de l'Autre un modèle, c'est faire de lui un rival ». Aussi, Girard va plus loin en affirmant que « derrière chaque mouvement non conformiste se cache juste un autre comportement conformiste ».
  
 
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* l’éducation est une lutte. Elle l’a toujours été. Une lutte contre l’ignorance, contre le conformisme, contre les préjugés, contre la paresse intellectuelle. Elle est une lutte pour que nos jeunes deviennent des citoyens qui savent se situer dans le temps et l’espace, qui possèdent des points de référence pour évoluer dans le monde.                                              
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:*au-delà du conformisme, les jeunes sont pour la plupart d’énormes demandeurs d’éducation.                                      
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:* Officiellement, l’éducation nationale est ouverte à l’innovation. Elle crée des conseils pour l’encourager, lance des plans, notamment sur le numérique, ­récompense des initiatives… Dans la réalité, les innovateurs se heurtent à des obstacles qui souvent découragent, notamment une hiérarchie qui veut tout contrôler et une institution qui favorise le conservatisme.                                                 
:* .................                                                 
 
  
 
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* [[Comment peut-on être un conformisme ?]]
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* [[Quels sont les avantages d'un anticonformisme ?]]
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* [[Est ce qu'on peut passer du conformisme à l'anticonformisme ou l'inverse ?]]
  
 
}}<!-- ******** Fin Fiche Didactique Questions ******************* -->
 
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