Pédagogie differenciée

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Puce-didaquest.png Définition

Domaine, Discipline, Thématique


La pédagogie différenciée est une pédagogie qui :


  • Privilégie l’enfant, ses besoins et ses possibilités.


  • Se différencie selon les besoins des enfants.


  • Lui propose des situations d’apprentissage et des outils variés.


  • Ouvre à un maximum d’enfants les portes du savoir, du savoir-faire, du savoir-être.

Selon le conseil central de l’enseignement primaire catholique,


1.Tout enseignant constate, dans la pratique quotidienne, combien le groupe d’élèves(la classe) est hétérogène : hétérogénéité d’âge, de niveau de développement (moteur, cognitif, affectif), d’origine socio-culturelle .

2.La pédagogie différenciée est une pédagogie proposant des apprentissages qui respectent l’évolution de la pensée enfantine, respectueuse du type d’intelligence de chaque enfant, afin que chacun, par des voies qui lui sont propres, puisse atteindre le maximum de responsabilités

Selon Philippe MEIRIEU et Nicolas Rouche

Différencier, c’est avoir le souci de la personne sans renoncer à celui de la collectivité, s’appuyer sur la singularité pour permettre l’accès à des outils communs, en un mot : être en quête d’une méditation toujours plus efficace entre l’élève et le savoir

Définition graphique





Blue-circle-target.png Histroire

Histoire de la pédagogie différenciée à travers les recherches de psychologues

1983, JP ASTON FEE

La pédagogie différenciée se définissait comme une pédagogie qui se différencie selon les enfants, leurs caractéristiques personnelles et sociales.

Cet auteur préconise des structures facilitant cette différenciation, une évaluation de leur performance qui soit formative et non sélective, une pédagogie du projet qui fasse une large place à l’interdisciplinarité, une individualisation de l’enseignement Selon Philippe MERIEU, l'essentiel pour le maître qui veut différencier sa didactique est d'apprendre à observer. Une règle devrait guider tout éducateur, dit J.M. DE KETELE : parler moins, faire agir plus et observer pendant ce temps. Cette observation doit se développer dans deux directions complémentaires et intervenir à trois moments de la démarche d'apprentissage.

Pour être opérationnel et engager une proposition pédagogique, l'observation de l'élève doit en effet permettre de repérer à la fois ses besoins et ses ressources. C'est alors en s'appuyant sur les secondes que l'on parviendra à combler les premiers. Pour être efficace et stimuler la différenciation, l'observation doit de plus intervenir à trois moments décisifs de la démarche pédagogique. Elle prendra alors successivement les formes de l'évaluation diagnostique, formative et sommative.

On peut distinguer trois grands cadres d'exercices de la différenciation :


  • le maître dans sa propre classe,
  • une classe gérée par l'équipe des professeurs de toutes disciplines
  • et un groupe de classes dans une discipline donnée.

La classe : la classe reste le premier endroit de la différenciation. Ici, la différenciation, c'est d'abord la diversification des outils. Pour chaque notion, plusieurs énoncés. On pourrait ajouter : à chaque démarche, son contrepoint. Il s'agit ici de pratiquer une différenciation successive qui sache utiliser différents outils et différentes situations d'apprentissage, de manière à ce que chaque élève ait le maximum de chance de trouver une méthode lui convenant. Dans cette forme de différenciation, le maître conserve une progression collective, mais alterne les méthodes utilisées.

La différenciation simultanée est la plus complexe à mettre en œuvre parce qu'elle soulève à la fois des problèmes techniques (l'organisation des salles), institutionnels (l'institution et ses responsables) et psychologiques.

S'il est un espace particulièrement propice à la différenciation, si évident et si proche, qu'on en vient à l'oublier, c'est bien celui couvrant l'existence même des différentes disciplines. Au total, la différenciation apparaît bien comme une chance pour mobiliser l'élève, une occasion précieuse pour lutter simultanément contre l'ennui et l'échec qui sévissent trop souvent à l'école

HALINA PRZESMYCKI (1991)

Selon elle, la pédagogie différenciée est une pédagogie des processus : elle met en œuvre un cadre souple où les apprentissages sont suffisamment explicités et diversifiés pour que les élèves apprennent selon leur propre itinéraire, l'appropriation, les savoirs ou les savoir-faire. La pédagogie différenciée se définit comme :


  • Une pédagogie individualisée qui reconnaît l'élève comme une personne ayant ses représentations propres de la situation de formation .
  • Une pédagogie variée qui propose un éventail de démarches s'opposant ainsi au

fait que tous doivent travailler au même rythme, dans la même durée et par les mêmes itinéraires.

Les trois dispositifs de différenciation s'articulent autour de trois pôles du triangle didactique :

  • Personne
  • Institution
  • Savoir
La différenciation des processus d'apprentissage

.

Les élèves sont répartis en plusieurs groupes qui travaillent chacun simultanément sur les mêmes objectifs selon des processus différents mis en œuvre à travers des pratiques diversifiées de travail autonome : le contrat, une grille d'auto-évaluation formative, un projet. La différenciation des processus est déterminée par une analyse préalable la plus fine possible de l'hétérogénéité des élèves.

La différenciation des contenus d'apprentissage

. Les élèves sont répartis en plusieurs groupes qui travaillent chacun simultanément sur des contenus différents définis en terme d'objectifs cognitifs, méthodologiques et comportementaux. Ceux-ci sont choisis dans le noyau commun d'objectif inventorié par l'équipe pédagogique ou par l'enseignant et considérés comme des étapes nécessaires pour que tous accèdent au niveau exigé par l'institution. Les objectifs sont ensuite cernés par un diagnostic initial révélant l'hétérogénéité des réussites et des difficultés.

La différenciation des structures

.

Les élèves sont répartis en plusieurs groupes dans des structures différentes de la classe. Ce dispositif est nécessaire, mais insuffisant. Certes, on ne peut différencier les processus et les contenus, sans répartir les élèves en sous-groupes, mais ce dispositif met en place un cadre qui resterait vide et sans effet sur la réussite des élèves si la pédagogie n'était pas différenciée. Cette carence explique parfois l'échec des groupes de niveau matière. Il est vrai cependant que le simple fait de différencier les structures permet aux élèves de connaître d'autres types de regroupement, d'autres lieux, d'autres animateurs, provoquant de nouvelles interactions sociales et ainsi des réactions constructives à l'apprentissage demandé.

Jean-Michel ZAKHARTCHOUK

On distingue en fait deux formes très contrastées :

  • la différenciation successive qu'on appellera plutôt pédagogie diversifiée ou variée,
  • la différenciation simultanée plus difficile, plus révolutionnaire, sans doute, car

elle implique que tous les élèves ne travaillent pas de la même façon en même temps et aient même des tâches différentes à effectuer. C'est pourtant là que s'inscrit la pédagogie différenciée proprement dite.

Sur quoi va porter la différenciation :

  • sur les outils d'apprentissage : les manipulations, les supports auditifs et visuels, lesnouvelles technologies (power point, CD rom, …)
  • sur les démarches d'apprentissage : approche globale ou analytique, des séquences basées sur la déduction, la découverte intuitive, …
  • sur les situations d'apprentissage : situations d’écoute (active ou autre), de

recherche, une évaluation formative, une production personnelle, …

  • sur le degré de guidance : encadrer ou non les élèves, intervenir de manière différenciée dans les groupes de travail, moments de travail en autonomie.
  • sur la place du relationnel : un ancrage affectif, un savoir parfois plus distancé, plus détaché du vécu ou de l’environnement de l’élève.
  • sur la gestion du temps : séquences d’apprentissage de durées différentes.
  • sur la manière de mobiliser et d'enrôler les élèves : aider les élèves à se motiver en valorisant l’activité, en les relançant et les stimulant.
  • sur l'organisation de la classe : travailler en classe entière, en groupe de tailles différentes, mais aussi des groupes d’entraide, de recherche, …
  • sur les formes de travail : moments d’exposition du professeur, moments de recherches, moments d’exercices et moments d’évaluation.
  • sur les consignes données : consignes très explicites ou non, consignes travaillées en groupes, consignes orales ou écrites, consignes s’appuyant sur des exemples et =contre-exemples.
  • sur les formes d'évaluation : différencier les méthodes et les outils pour évaluer.
  • sur les contenus : différents contenus peuvent être abordés pour un même objectif.

La pédagogie différenciée a avoir avec :

  • l'approche par objectif,
  • l'évaluation formative ou formatrice,
  • la pédagogie du projet,
  • l'interdisciplinarité,
  • l'aide individualisée


Blue-circle-target.png Fondements

Pour qu’un élève soit en situation de réussite, il doit acquérir trois pouvoirs :

  1. Le pouvoir psychique : avoir confiance en lui, mobiliser son énergie à travers la motivation, préciser son projet.
  2. Le pouvoir économique : maîtriser les apprentissages, faire preuve de compétences intellectuelles, techniques, culturelles pour s’intégrer dans la société.
  3. Le pouvoir social : acquérir une position valorisée dans et par l’école, vis-à-vis de ses pairs, des éducateurs.

Ces conséquences sont interdépendantes. Beau projet pour l’élève que de se mettre en route pour acquérir ces trois pouvoirs. Belle mission pour l’école que d’accompagner l’élève dans cette conquête étalée de 2 ans 1/2 à 14 ans en ce qui concerne l’école du fondement. L’école dispose d’une variété de moyen pour réaliser cette mission. De cet éventail, retirons la pédagogie différenciée. Celle-ci nous paraît être une piste à privilégier car la mettre en œuvre à l’école c’est rejoindre l’enfant dans ses dimensions physiques, intellectuelles et sociales

Economique

Du point de vue économique :
nous cernons l’élève apprenant et l’enseignant qui fait 

apprendre. Les situations de différenciations qui seront proposées à l’élève vont lui permettre d’expérimenter, d’analyser, d’évaluer des conduites intellectuelles pratiquées dans des situations d’apprentissage, de sérier des procédures, des processus de développement qui le conduiront à la réussite s’il arrive à les transférer dans d’autres situations. Ce cadre référent s’enrichira, se réorganisera au fur et à mesure qu’il avancera dans son itinéraire scolaire. Quant à l’enseignant ou à l’équipe éducative, ce sont les observations des élèves qui apprennent, l’échange en équipe, les constats de réussite ou de difficultés qui aideront les enseignants à mettre en œuvre des pratiques de différenciations dans les propositions de situations d’apprentissage, dans la recherche d’outils, dans la diversité des moyens de communication avec l’enfant, dans l’organisation de la classe, des groupes d’enfants. Cette maîtrise permettra à l’élève de connaître le bonheur de grandir, de comprendre la vie et son sens, d’être capable de décider, de choisir, tout au long de sa vie.

Psychique

Du point de vue psychique :

la pédagogie différenciée conduit l’élève à une meilleure connaissance de lui-même, à être plus conscient de ses forces, de ses faiblesses, de ses manières de faire, de ses comportements face à l’erreur ou à la réussite.

De même, elle encourage l’enseignant(e) à se centrer sur une meilleure connaissance de l’élève, de ses comportements, de ses réactions.
La confrontation des deux points de vue, dans des moments réservés à cette situation que nous appellerons entretien individuel, dialogue, aidera l’élève à augmenter sa conscientisation au niveau de son développement personnel et l’enseignant à parfaire ses observations et l’analyse de celles-ci.

Sociale

Du projet de vie sociale :

l’élève n’apprend pas seul, il apprend aussi par et avec les autres.

Nous avons connu des systèmes pédagogiques à dominante individualiste. Chacun pour soi, telle était la devise.

L’élève qui se trouve devant des stratégies d’apprentissage différentes, face à des objets d’apprentissage qu’il aura pu choisir (travail libre), des choix de matériels, de procédures, de consignes différentes, de modalités de réalisation, seule ou avec d’autres, autant de situations qui vont aider l’élève à mieux se connaître par le regard des autres, à voir l’autre quelqu’un qui sait la même chose ou des choses différentes, que je peux aider et qui peut m’aider.

L’autre n’est pas un concurrent pour moi.

Aider l’élève à grandir dans cet esprit d’ouverture vers les autres, c’est lui faciliter sa construction en tant que personne et sujet apprenant.

Ces expériences aideront les élèves à se découvrir mais aussi à se découvrir, lui, dans un groupe.

Quant à l’enseignant, il vivra la différenciation au niveau de son équipe éducative tout comme l’enfant dans son groupe. Tantôt en situation d’apport aux autres, tantôt en situation de réception ou de partage, il augmentera son degré de connaissance personnelle par le regard de ses collègues.

Ceux-ci seront des collaborateurs à une œuvre commune

L’école, en aidant l’enfant à construire les trois pouvoirs, rejoint les préoccupations politiques et pédagogiques actuelles à savoir :

  • dépasser l’égalité d’accès à l’instruction et l’égalité des chances pour atteindre

l’égalité des résultats.

Le document « socle de compétences » lutte contre l’exclusion scolaire et sociale afin de remettre en valeur « la justice pour chacun et pour tous »

  • viser la réussite de chaque élève ce qui implique la prise en compte des différences (intérêts, acquis, rythme, repère, profil cognitif, culture, etc.)

Cela signifie aussi que l’école a pour préoccupation essentielle la lutte contre l’échec scolaire.

Pour poursuivre ces préoccupations politiques et pédagogiques, l’école dispose de certains moyens telle que la pédagogie différenciée. Pour en exploiter toutes les facettes, il convient de la relier aux pédagogies fonctionnelles et participatives.


Blue-circle-target.png Types

Chronologique

elle consiste à construire une séquence d’apprentissage, une journée scolaire, une semaine à partir de groupements différents d’élèves : alternant entre le grand groupe, les sous-groupes et l’élève seul devant sa tâche.

L’enseignant décidera du pourquoi de tel ou tel groupement

Institutionnelle

il s’agit de la prise en compte des différences entre enfants au niveau de l’organisation de l’institution scolaire : enseignement ordinaire et enseignement spécialisé.

Successive

elle consiste pour l’enseignant à utiliser successivement diverses méthodes, divers supports, différentes situations et démarches d’apprentissage pour que chacun ait un maximum de chance de trouver, au moins régulièrement, une méthode qui lui convient

Transdisciplinaire

ivent réaliser (une fiche de lecture, un dossier, un travail écrit de synthèse, etc.) et ils choisissent dans quelle discipline ils vont effectuer ces travaux (ou quel langage ils vont utiliser : le texte narré, la BD, le conte ou quel point de vue ils vont prendre, etc.)

Simultanée

les élèves effectuent dans le même temps des activités différentes (choisies par eux en fonction de leurs intérêts ou désignées par l’enseignant(e) sur base de besoins constatés) ou réalisent de façons diverses des tâches identiques (avec des ressources ou contraintes personnalisées, en utilisant des démarches variées, etc.)

Par la tâche.

on propose dans ce cas de mettre en place des ateliers de soutien, de besoin ou de choix, d'entraînement ou d'approfondissement dans lesquels les activités personnalisées et adaptées sont proposées en fonction des besoins évalués de chacun

Par les rôles


Par les procédés

il s'agit pour l'enseignant d'accepter et de valoriser le fait que, dans certaines activités, chacun réponde avec sa propre solution, ses propres procédures, sans forcément établir de hiérarchie entre celles qui sont apparues dans la classe

Par les ressources disponibles et les contraintes imposées

ce type de différenciation vise à adapter la situation qui est comme précédemment la même pour tous les élèves aux capacités et aux besoins d'apprentissage actuel des élèves, en choisissant soigneusement les valeurs données à certaines variables de la situation, en proposant des consignes différentes à certains enfants.


Blue-circle-target.png Conditions de réussite

par rapport

Elève

Enseignant


Blue-circle-target.png Stratégies


Blue-circle-target.png Questions possibles

Différencier Quoi ?

Différencier Quand ?

Différencier Comment ?

Différencier Où ?

Pourquoi différencier ?


Puce-didaquest.png Concepts ou notions associés =



Puce-didaquest.png Exemples, applications, utilisations

  • Soit le maître fait preuve de flexibilité pédagogique en proposant à sa classe une succession d'activités

ordonnées autour d'un même objet, telle que chacun puisse découvrir sa propre stratégie et s'approprier le savoir proposé ; c'est le cadre le plus facile. Soit le maître, à un moment donné, fait que les élèves s'adonnent à des activités diverses définies pour chacun d'eux, en fonction de leurs besoins, de leurs ressources etc. ; c'est un cadre plus complexe à gérer. On peut distinguer trois grands cadres d'exercices de la différenciation :

  • le maître dans sa propre classe,

une classe gérée par l'équipe des professeurs de toutes disciplines et un groupe de classes dans une discipline donnée.

  • 1/ Dans une classe, l’hétérogénéité est la règle ! L’homogénéité étant l’exception, il faut cesser d’être surpris de ne pas pouvoir faire avancer tout le monde de la même manière même si les programmes en donnent l’illusion................................................................................
  • Inverser l’idée qu’on se fait du travail collectif en classe : non pas une tâche que ne finissent jamais les derniers mais un travail que tout le monde réalise, la différenciation intervenant pour ceux qui ont réussi le plus vite au travers d’activités en autonomie :

Approfondir par un autre exercice

  • Ecrire un texte libre qu’on présentera à la classe
  • Effectuer des recherches pour un exposé à venir
  • Mémoriser sa poésie, une chanson, une leçon, son texte de théâtre (selon projet)
  • Fabriquer un exercice ou un jeu en lien avec le travail collectif
  • Mettre à jour sa correspondance (lettre, invention de jeux, mise au propre)
  • Lire en silence (notamment pour préparer une présentation d’ouvrage à la classe)
  • Préparer une lecture pour une autre classe (notamment maternelle)
  • Faire des jeux d’entraînement sur l’ordinateur
  • Rédiger son courrier pour les boîtes aux lettres de la classe.
  • Illustrer sa poésie, sa correspondance, avancer dans le projet d’arts visuels
  • Créer une construction géométrique pour la classe (mesurer, tracer, utiliser les outils)
  • Avancer dans son plan de travail notamment dans les fichiers de lecture ou de maths
  • Faire des jeux : sudoku, mots mêlés, mots croisés, charades…
  • Aller aider les autres qui le demandent et sans faire à leur place.

(+)


Puce-didaquest.png Erreurs ou confusions éventuelles



Puce-didaquest.png Questions possibles



Puce-didaquest.png Liaisons enseignements et programmes

Education: Liens, sites et portails




Difficultés liées à son enseignement

  • Techniquement,

cette vision n’est pas aisée à mettre en place. Elle suppose un investissement important des différents acteurs, une capacité de l’enseignant de s’adapter, d’anticiper. Vu la complexité et l’engagement que cela nécessite

  • Il faut constituer des groupes de besoin
  • il faut que le maître explique en début d'année aux parents ce qu'il va réaliser pendant l'année,
  • le maître va mettre sur pied la pédagogie différenciée, expliquer pourquoi et quels sont ses objectifs

Aides et astuces

  • La coopération entre élèves garantit l’échange, l’entraide, la communication, le tutorat, la vie de classe.
  • il faut aussi penser la pédagogie différenciée à destination des meilleurs élèves.
  • Pour différencier le travail des élèves, on doit actionner tous les leviers d’une classe

Puce-didaquest.png Bibliographie

  • Legrand, L. (1995). Les différenciations de la pédagogie. P.U.F
  • Meirieu, P. (1987). Apprendre, oui mais … comment ? E.S.F