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  ''J’exprime le plaisir que nous avons à partager avec vous cette expérience et à vous montrer la diversité des missions de l’Académie française. Je vais vous parler d’une mission relativement récente, la terminologie et la néologie. Elle date de 1996, mais elle a pris beaucoup d’importance et elle en prend de plus en plus. Cette mission consiste à donner à la langue française des équivalents français aux mots qui naissent quotidiennement dans des langues différentes et le plus souvent en américain, donc en anglais. Pour pouvoir conserver sa vocation universelle la langue française doit pouvoir désigner en français toutes les notions, toutes les réalités nouvelles au fur et à mesure qu’elles apparaissent. Il s’agit de choisir le mot ou l’expression qui désignera en français la réalité nouvelle. C’est le travail de terminologie. S’il n’existe pas dans la langue française de mot pour désigner l’équivalent, il s’agit d’un travail de néologie. Toutes les langues éprouvent un problème de terminologie et de néologie qui consiste à créer des mots nouveaux pour désigner des réalités ou des concepts nouveaux. Suivant en cela le Canada et le Québec qui ont un appareil de terminologie et de néologie découlant de la loi 101 du Québec, la France a mis en place un réseau de terminologie qui est le suivant. Il se distingue du dictionnaire de l’Académie française parce que c’est un appareil gouvernemental. C’est l’État français qui donne à la langue française des équivalents pour désigner des réalités nouvelles. Il y a des commissions spécialisées par domaine de vocabulaire. Évidemment les questions ne sont pas les mêmes selon qu’il s’agit d’énergie nucléaire, de transport, de l’ingénierie financière ou de l’architecture, enfin tous les domaines de vocabulaire possibles et imaginables. Il y a donc des commissions spécialisées qui recensent les besoins, qui essayent de les anticiper, de ne pas arriver trop tard. Lorsqu’il y a déjà eu un usage qui s’est établi pour un mot en langue étrangère, en américain le plus souvent, il est plus difficile de revenir sur l’usage. Ayant recensé les besoins, elles recherchent l’équivalent français le plus convenable. C’est une question de connaissance du vocabulaire de la langue française. C’est une question d’une intuition linguistique, quel est le meilleur mot ? Je vous donnerai quelques exemples tout à l’heure. Ces commissions soumettent des propositions à une commission générale de terminologie qui dépend du Premier ministre, c’est-à-dire du chef du gouvernement de la France. Cette commission générale est composée d’une vingtaine de personnes, de grands experts compétents dans plusieurs domaines de vocabulaire, souvent des experts en matière de langue, et présidée par un membre de l’Académie française.
 
  ''J’exprime le plaisir que nous avons à partager avec vous cette expérience et à vous montrer la diversité des missions de l’Académie française. Je vais vous parler d’une mission relativement récente, la terminologie et la néologie. Elle date de 1996, mais elle a pris beaucoup d’importance et elle en prend de plus en plus. Cette mission consiste à donner à la langue française des équivalents français aux mots qui naissent quotidiennement dans des langues différentes et le plus souvent en américain, donc en anglais. Pour pouvoir conserver sa vocation universelle la langue française doit pouvoir désigner en français toutes les notions, toutes les réalités nouvelles au fur et à mesure qu’elles apparaissent. Il s’agit de choisir le mot ou l’expression qui désignera en français la réalité nouvelle. C’est le travail de terminologie. S’il n’existe pas dans la langue française de mot pour désigner l’équivalent, il s’agit d’un travail de néologie. Toutes les langues éprouvent un problème de terminologie et de néologie qui consiste à créer des mots nouveaux pour désigner des réalités ou des concepts nouveaux. Suivant en cela le Canada et le Québec qui ont un appareil de terminologie et de néologie découlant de la loi 101 du Québec, la France a mis en place un réseau de terminologie qui est le suivant. Il se distingue du dictionnaire de l’Académie française parce que c’est un appareil gouvernemental. C’est l’État français qui donne à la langue française des équivalents pour désigner des réalités nouvelles. Il y a des commissions spécialisées par domaine de vocabulaire. Évidemment les questions ne sont pas les mêmes selon qu’il s’agit d’énergie nucléaire, de transport, de l’ingénierie financière ou de l’architecture, enfin tous les domaines de vocabulaire possibles et imaginables. Il y a donc des commissions spécialisées qui recensent les besoins, qui essayent de les anticiper, de ne pas arriver trop tard. Lorsqu’il y a déjà eu un usage qui s’est établi pour un mot en langue étrangère, en américain le plus souvent, il est plus difficile de revenir sur l’usage. Ayant recensé les besoins, elles recherchent l’équivalent français le plus convenable. C’est une question de connaissance du vocabulaire de la langue française. C’est une question d’une intuition linguistique, quel est le meilleur mot ? Je vous donnerai quelques exemples tout à l’heure. Ces commissions soumettent des propositions à une commission générale de terminologie qui dépend du Premier ministre, c’est-à-dire du chef du gouvernement de la France. Cette commission générale est composée d’une vingtaine de personnes, de grands experts compétents dans plusieurs domaines de vocabulaire, souvent des experts en matière de langue, et présidée par un membre de l’Académie française.
  
J’ai eu l’honneur de présider cette commission pendant dix ans et c’est une matière enrichissante et intéressante, un peu différente de celle du dictionnaire. Pourquoi ? Parce qu’en présence d’un terme né dans une langue étrangère, il faut d’abord savoir ce que désigne ce terme, ce qui n’est pas toujours facile. La langue américaine est moins précise que la langue française. Souvent les termes nés de l’usage outre-Atlantique recouvrent une notion confuse, difficile à préciser. Cela convient très bien pour l’usage très pragmatique que l’on fait de la langue anglo-américaine, mais ne convient pas bien pour des langues précises comme la langue française. Donc le premier travail est de cerner la notion dont il s’agit. Puis il convient de trouver un équivalent en français. Ce travail étant fait, les travaux de la commission générale de la terminologie sont soumis pour accord à l’Académie française. Là se rejoignent tout le travail traditionnel du dictionnaire et le travail nouveau de la terminologie qui par définition s’applique à des notions nouvelles et à des mots nouveaux, mais qui ne manqueront pas de rejoindre le vocabulaire français. L’Académie française donne son accord ou ne le donne pas. Si elle ne le donne pas, retour à la commission de terminologie qui recommence le travail jusqu’au moment où l’Académie française aura donné son accord sur la proposition. Lorsqu’elle a donné son accord, le gouvernement publie les listes de termes et expressions au Journal officiel de la République, ce qui n’est pas le cas pour le dictionnaire. Cette publication au Journal officiel est rendue nécessaire parce que les mots ainsi approuvés ont un usage obligatoire par les administrations publiques, mais pas par les citoyens. Il n’y a pas pour les citoyens d’obligation d’utiliser un mot. L’usage des mots est libre. De même les mots du dictionnaire ne sont pas d’un usage obligatoire, ils sont là pour servir, pour former l’usage. Pour les néologismes, les termes nouveaux, la France s’est inspirée aussi de la législation du Canada et du Québec qui rend obligatoire l’usage de la langue française. On a ainsi voulu que les administrations au moins, que l’État servent d’exemple et répandent dans l’usage des mots ou expressions nouveaux. Ce mécanisme fonctionne maintenant depuis une vingtaine d’années et fonctionne assez bien.
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J’ai eu l’honneur de présider cette commission pendant dix ans et c’est une matière enrichissante et intéressante, un peu différente de celle du dictionnaire. Pourquoi ? Parce qu’en présence d’un terme né dans une langue étrangère, il faut d’abord savoir ce que désigne ce terme, ce qui n’est pas toujours facile. La langue américaine est moins précise que la langue française. Souvent les termes nés de l’usage outre-Atlantique recouvrent une notion confuse, difficile à préciser. Cela convient très bien pour l’usage très pragmatique que l’on fait de la langue anglo-américaine, mais ne convient pas bien pour des langues précises comme la langue française. Donc le premier travail est de cerner la notion dont il s’agit. Puis il convient de trouver un équivalent en français. Ce travail étant fait, les travaux de la commission générale de la terminologie sont soumis pour accord à l’Académie française. Là se rejoignent tout le travail traditionnel du dictionnaire et le travail nouveau de la terminologie qui par définition s’applique à des notions nouvelles et à des mots nouveaux, mais qui ne manqueront pas de rejoindre le vocabulaire français. L’Académie française donne son accord ou ne le donne pas. Si elle ne le donne pas, retour à la commission de terminologie qui recommence le travail jusqu’au moment où l’Académie française aura donné son accord sur la proposition. Lorsqu’elle a donné son accord, le gouvernement publie les listes de termes et expressions au Journal officiel de la République, ce qui n’est pas le cas pour le dictionnaire. Cette publication au Journal officiel est rendue nécessaire parce que les mots ainsi approuvés ont un usage obligatoire par les administrations publiques, mais pas par les citoyens. Il n’y a pas pour les citoyens d’obligation d’utiliser un mot. L’usage des mots est libre. De même les mots du dictionnaire ne sont pas d’un usage obligatoire, ils sont là pour servir, pour former l’usage. Pour les néologismes, les termes nouveaux, la France s’est inspirée aussi de la législation du Canada et du Québec qui rend obligatoire l’usage de la langue française. On a ainsi voulu que les administrations au moins, que l’État servent d’exemple et répandent dans l’usage des mots ou expressions nouveaux. Ce mécanisme fonctionne maintenant depuis une vingtaine d’années et fonctionne assez bien.
  
Voici quelques exemples permettant de voir comme s’accomplit la mission. Il y a d’abord de grands succès. L’un des premiers grands succès a été de donner un équivalent aux mots américains hardware et software. Comment traduire ? Déjà en américain vous voyez que ce n’est pas très bien défini. Il y a eu un travail de spécialistes et finalement a été proposé pour hardware l’équivalent d’ordinateur. C’est un mot qui a réussi tout de suite dans l’usage. L’ordinateur, on voit très bien ce que c’est. C’est un mot plus expressif que hardware surtout si on le rapproche de l’autre mot software, dont l’équivalent choisi en français a été logiciel, très expressif. Si l’on rapproche les deux, l’ordinateur et le logiciel, ils se complètent, donnent des possibilités d’usage infini et montrent bien l’opération nouvelle que désignent ces expressions. Il s’agissait de traduire des réalités qui existent dans la langue française, ce qui a été fait. C’est un succès, personne ne conteste ces termes et même bien des langues étrangères se sont calquées sur l’équivalent français et ont trouvé elles-mêmes l’équivalent de l’équivalent français.
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Voici quelques exemples permettant de voir comme s’accomplit la mission. Il y a d’abord de grands succès. L’un des premiers grands succès a été de donner un équivalent aux mots américains hardware et software. Comment traduire ? Déjà en américain vous voyez que ce n’est pas très bien défini. Il y a eu un travail de spécialistes et finalement a été proposé pour hardware l’équivalent d’ordinateur. C’est un mot qui a réussi tout de suite dans l’usage. L’ordinateur, on voit très bien ce que c’est. C’est un mot plus expressif que hardware surtout si on le rapproche de l’autre mot software, dont l’équivalent choisi en français a été logiciel, très expressif. Si l’on rapproche les deux, l’ordinateur et le logiciel, ils se complètent, donnent des possibilités d’usage infini et montrent bien l’opération nouvelle que désignent ces expressions. Il s’agissait de traduire des réalités qui existent dans la langue française, ce qui a été fait. C’est un succès, personne ne conteste ces termes et même bien des langues étrangères se sont calquées sur l’équivalent français et ont trouvé elles-mêmes l’équivalent de l’équivalent français.
  
Maintenant un exemple qui n’a pas réussi. Il y a un mot dans l’usage courant qui est le mot e-mail. Faut-il donner un équivalent français à e-mail ? Oui, il le faut, et pour une raison simple : c’est que e-mail s’écrit e-m-a-i-l et que les imprimeurs, lorsqu’ils impriment ce mot, ne l’écrivent pas en anglais avec le tiret entre le e et le mail. Car il y a un mot français qui correspond à cela c’est le mot émail qui désigne tout autre chose. Pour éviter les confusions il y a donc nécessité à trouver un équivalent à e-mail. Malheureusement cet équivalent n’a pas été bien trouvé et il n’est toujours pas bien trouvé. Comment les choses se sont-elles passées ? Le Canada et le Québec avaient adopté un équivalent bien formulé, intelligent, compréhensible, qui est le mot courriel. Cela veut dire courrier électronique, ce qui est bien la traduction d’e-mail. C’en est même l’exacte traduction et cela devait presque obligatoirement se répandre dans l’usage. La commission française de terminologie a adopté le mot courriel, l’Académie française l’a accepté, il a été publié au Journal officiel, donc il devait être obligatoire dans toutes les administrations de l’État. Que constate-t-on ? Que ce mot a beaucoup de difficulté à entrer dans l’usage. Nous n’abandonnons pas, il ne faut pas abandonner, mais d’autres substituts se sont glissés dans l’usage. Il y a en un qui n’est pas un bon équivalent. C’est tout simplement mail, qui n’a pas de raison d’être. Il y en a un autre qui passe dans l’usage quotidien parlé, tout à fait bâtard, qui est mèle. On est obligé de constater que c’est l’usage qui s’installe le plus. Le mot mèle se justifie parce qu’il a la même terminaison que courriel. On sait qu’il faudrait dire courriel, mais c’est trop compliqué donc on dit mèle. C’est mauvais. Voilà le genre d’exemples de travaux de terminologie et de néologie avec les bonheurs et les échecs il faut bien le dire. Je donne un dernier exemple entre les deux : le mot coach, d’usage quotidien dans tous les domaines de vocabulaire. C’est un mot d’origine française car le mot coach c’est le mot cocher tout simplement, celui qui conduit la voiture à cheval. Quel équivalent français donner au mot coach ? C’est un mot confus dans la langue américaine et en réalité il y a plusieurs équivalents français par domaine de vocabulaire. On peut donner successivement formateur, accompagnateur, mentor. Mentor est le plus abstrait, le plus général qui conviendrait à tous les usages de vocabulaire. Mais il y en a d’autres : dans le domaine sportif, entraineur, c’est le plus classique aussi. Dans ce cas, c’est un demi-succès parce que l’appareil de terminologie a donné le choix entre de multiples solutions suivant les domaines de vocabulaire. Ces choix sont employés, entraineur dans le domaine sportif, mentor dans le domaine de l’éducation, mais le résultat n’est pas complet car le mot coach reste lui aussi dans l’usage courant. Voilà les heurs et malheurs du travail de terminologie.
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Maintenant un exemple qui n’a pas réussi. Il y a un mot dans l’usage courant qui est le mot e-mail. Faut-il donner un équivalent français à e-mail ? Oui, il le faut, et pour une raison simple : c’est que e-mail s’écrit e-m-a-i-l et que les imprimeurs, lorsqu’ils impriment ce mot, ne l’écrivent pas en anglais avec le tiret entre le e et le mail. Car il y a un mot français qui correspond à cela c’est le mot émail qui désigne tout autre chose. Pour éviter les confusions il y a donc nécessité à trouver un équivalent à e-mail. Malheureusement cet équivalent n’a pas été bien trouvé et il n’est toujours pas bien trouvé. Comment les choses se sont-elles passées ? Le Canada et le Québec avaient adopté un équivalent bien formulé, intelligent, compréhensible, qui est le mot courriel. Cela veut dire courrier électronique, ce qui est bien la traduction d’e-mail. C’en est même l’exacte traduction et cela devait presque obligatoirement se répandre dans l’usage. La commission française de terminologie a adopté le mot courriel, l’Académie française l’a accepté, il a été publié au Journal officiel, donc il devait être obligatoire dans toutes les administrations de l’État. Que constate-t-on ? Que ce mot a beaucoup de difficulté à entrer dans l’usage. Nous n’abandonnons pas, il ne faut pas abandonner, mais d’autres substituts se sont glissés dans l’usage. Il y a en un qui n’est pas un bon équivalent. C’est tout simplement mail, qui n’a pas de raison d’être. Il y en a un autre qui passe dans l’usage quotidien parlé, tout à fait bâtard, qui est mèle. On est obligé de constater que c’est l’usage qui s’installe le plus. Le mot mèle se justifie parce qu’il a la même terminaison que courriel. On sait qu’il faudrait dire courriel, mais c’est trop compliqué donc on dit mèle. C’est mauvais. Voilà le genre d’exemples de travaux de terminologie et de néologie avec les bonheurs et les échecs il faut bien le dire. Je donne un dernier exemple entre les deux : le mot coach, d’usage quotidien dans tous les domaines de vocabulaire. C’est un mot d’origine française car le mot coach c’est le mot cocher tout simplement, celui qui conduit la voiture à cheval. Quel équivalent français donner au mot coach ? C’est un mot confus dans la langue américaine et en réalité il y a plusieurs équivalents français par domaine de vocabulaire. On peut donner successivement formateur, accompagnateur, mentor. Mentor est le plus abstrait, le plus général qui conviendrait à tous les usages de vocabulaire. Mais il y en a d’autres : dans le domaine sportif, entraineur, c’est le plus classique aussi. Dans ce cas, c’est un demi-succès parce que l’appareil de terminologie a donné le choix entre de multiples solutions suivant les domaines de vocabulaire. Ces choix sont employés, entraineur dans le domaine sportif, mentor dans le domaine de l’éducation, mais le résultat n’est pas complet car le mot coach reste lui aussi dans l’usage courant. Voilà les heurs et malheurs du travail de terminologie.
  
Toutes les langues connaissent des problèmes de terminologie. L’expérience française est parmi les plus abouties et des démarches tendent à une collaboration entre nations dans les domaines de la terminologie et de la législation linguistique. Cette collaboration est plus facile à établir entre langues de la même famille, par exemple les langues latines, mais elles sont recherchées aussi avec d’autres langues, le russe et le grec par exemple. Je sais que des contacts ont existé à ce sujet entre des universitaires et des spécialistes chinois et les spécialistes français.
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Toutes les langues connaissent des problèmes de terminologie. L’expérience française est parmi les plus abouties et des démarches tendent à une collaboration entre nations dans les domaines de la terminologie et de la législation linguistique. Cette collaboration est plus facile à établir entre langues de la même famille, par exemple les langues latines, mais elles sont recherchées aussi avec d’autres langues, le russe et le grec par exemple. Je sais que des contacts ont existé à ce sujet entre des universitaires et des spécialistes chinois et les spécialistes français.
  
Puisse mon propos qui met en valeur les missions nouvelles de l’Académie française dans ce domaine trouver un écho parmi les éminents spécialistes chinois des questions linguistiques.''
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Puisse mon propos qui met en valeur les missions nouvelles de l’Académie française dans ce domaine trouver un écho parmi les éminents spécialistes chinois des questions linguistiques.''
 
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