La communication orale

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Domaine, Discipline, Thématique


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Définition écrite


  • ✅ Éléments bien définis et corrects :

✔ Nature du concept : La communication orale est bien définie comme un processus interactif et dynamique. ✔ Acteurs impliqués : La distinction entre l’émetteur et le récepteur est clairement établie. ✔ Composantes : Le message, le canal, le feedback et le contexte sont bien identifiés. ✔ Types de communication orale : La distinction entre communication formelle et informelle est correcte. ✔ Importance des aspects linguistiques et paralinguistiques : L’intégration de l’intonation, du rythme et des gestes est appropriée. ✔ Compétences nécessaires : La mention de l’écoute active, de l’adaptabilité et de la gestion des silences est pertinente.

❌ Points nécessitant une clarification ou un ajustement : 🔹 Différenciation entre langage non verbal et paraverbal :

Dans la définition initiale, la distinction entre langage non verbal (gestes, expressions faciales) et langage paraverbal (intonation, volume, débit) pourrait être mieux marquée pour éviter toute confusion. 🔹 Ajout de la notion de bruit :

La notion d’interférence ou de bruit communicationnel (interne ou externe) devrait être précisée pour expliquer les obstacles potentiels à la communication. 🔹 Précision sur le rôle du contexte :

Le contexte culturel et social influe sur la manière dont un message est interprété. Par exemple, un même discours peut être perçu différemment en fonction des normes socioculturelles. 🔹 Définition plus structurée des intentions communicatives :

Certaines catégories pourraient être précisées : Phatique (maintenir le contact) Expressive (exprimer une émotion) Directive (donner un ordre) Référentielle (transmettre un savoir) Métalinguistique (clarifier le langage) Conclusion ➡ Pas d’erreur scientifique majeure, mais quelques ajustements pourraient améliorer la clarté et la précision de la définition. ➡ Recommandation : Intégrer une distinction plus nette entre langage non verbal et paraverbal, expliciter le bruit communicationnel et structurer les intentions communicatives.

  • 1. Modèles théoriques de la communication

🔹 Modèle de Shannon et Weaver (1949) : La communication comme un processus de transmission linéaire avec émetteur, canal, bruit et récepteur. 🔹 Modèle de Jakobson (1960) : Identifie six fonctions du langage : expressive, conative, référentielle, métalinguistique, poétique et phatique. 🔹 Modèle interactionniste (Bateson, Watzlawick) : La communication est un échange dynamique où chaque interlocuteur influence l’autre.

2. Dimensions psycholinguistiques et cognitives 🔹 Production et perception de la parole : Processus neurologiques et cognitifs impliqués dans l’élaboration et la compréhension du message. 🔹 Mémoire et traitement de l’information : Impact de la mémoire de travail sur la compréhension et la fluidité du discours. 🔹 Compétence linguistique vs. compétence communicative (Chomsky vs. Hymes) : Savoir parler une langue ne signifie pas nécessairement savoir bien communiquer.

3. Facteurs socioculturels et pragmatiques 🔹 Pragmatique du langage : Étude de l’usage du langage en contexte (actes de langage de Searle, Grice et ses maximes de conversation). 🔹 Registres de langue : Soutenu, courant, familier, argotique, et leur impact sur la communication. 🔹 Normes et conventions culturelles : La communication orale varie selon les cultures (ex. : rapport au silence, usage des salutations, proxémique).

4. Communication et émotions 🔹 Intelligence émotionnelle (Goleman, 1995) : Capacité à gérer ses émotions et à interpréter celles des autres dans l’échange verbal. 🔹 Effet de la voix et du ton émotionnel : Impact des émotions sur la perception et l’interprétation du message.

5. Technologies et communication orale 🔹 Communication médiée par la technologie : Téléphone, visioconférence, podcasts, assistants vocaux et leurs spécificités. 🔹 Synthèse vocale et reconnaissance automatique de la parole : Influence de l’IA sur la communication orale. La communication orale est un processus interactif et dynamique par lequel un émetteur transmet un message verbal à un ou plusieurs récepteurs à travers un canal auditif, dans un contexte social et culturel donné. Ce processus mobilise des composantes linguistiques (mots, syntaxe), paralinguistiques (intonation, débit, volume), et non verbales (gestes, expressions faciales, posture).

Elle repose sur plusieurs modèles théoriques (Shannon & Weaver, Jakobson, Watzlawick) qui expliquent la transmission, l’interaction et les intentions du message (expressive, directive, référentielle, phatique, etc.). Sa réussite dépend de facteurs cognitifs (traitement de l’information, mémoire, compétences linguistiques et communicatives), psychosociaux (normes culturelles, proxémique, registres de langue), et émotionnels (gestion des émotions, intelligence émotionnelle).

La communication orale peut être formelle (discours, conférence, débat) ou informelle (conversation, échange spontané). Elle est influencée par les bruits communicationnels (interférences physiques, cognitives ou culturelles) et peut être médiée par la technologie (visioconférences, synthèse vocale).

Ainsi, maîtriser la communication orale nécessite une adaptabilité aux interlocuteurs et au contexte, une écoute active, une gestion des silences, ainsi qu’une capacité à interpréter et produire des messages efficacement selon les situations.
Blue-circle-target.png Définition de base La communication orale est l’échange d’informations entre des personnes à l’aide de la parole. Elle repose sur des mots, l’intonation et les gestes pour transmettre un message.


Blue-circle-target.png Définition intermédiaire La communication orale est un processus interactif impliquant un émetteur et un récepteur qui échangent un message à travers la parole. Elle mobilise des éléments linguistiques (mots, syntaxe), paralinguistiques (intonation, débit) et non verbaux (gestes, expressions faciales). Son efficacité dépend du contexte, du canal utilisé (face-à-face, téléphone) et du feedback des interlocuteurs.


Blue-circle-target.png Définition avancée La communication orale est un processus dynamique de transmission d’informations entre interlocuteurs, basé sur des signaux verbaux (mots, grammaire) et non verbaux (gestes, posture, regard). Elle s’inscrit dans un cadre socioculturel et repose sur des principes pragmatiques (actes de langage, maximes conversationnelles). Sa réussite dépend de la gestion des interférences (bruit externe et interne), de l’intention du message (expressive, directive, référentielle) et des compétences communicationnelles des participants (écoute active, clarté, adaptation).


Blue-circle-target.png Définition approfondie La communication orale est un processus interactif et contextuel de transmission d’informations entre un émetteur et un récepteur, fondé sur des signaux verbaux (mots, structures grammaticales), paralinguistiques (intonation, volume, rythme) et non verbaux (gestes, expressions faciales, proxémique). Elle s’appuie sur divers modèles théoriques (Shannon & Weaver pour la transmission, Jakobson pour les fonctions du langage, Watzlawick pour l’interaction) et mobilise des facteurs cognitifs (traitement de l’information, mémoire de travail, compétences linguistiques et pragmatiques).

La communication orale est influencée par des aspects socioculturels (normes langagières, registres de langue, proxémique) et émotionnels (gestion des émotions, intelligence émotionnelle). Elle peut être formelle (conférences, débats, discours) ou informelle (conversations spontanées) et se réalise via divers canaux (présentiel, téléphone, visioconférence).

Enfin, sa réussite repose sur une écoute active, une adaptabilité au contexte, une gestion des silences et une réduction des bruits communicationnels (interférences physiques, cognitives ou culturelles). Elle constitue un élément fondamental de l’apprentissage, de la transmission des savoirs et des interactions humaines.


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Définition graphique




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